Retour en arrière
Datte: 12/09/2017,
Catégories:
ffh,
couplus,
alliance,
volupté,
Oral
préservati,
pénétratio,
Cette journée de plage nous avait ouvert l’appétit, de la table et des sens. Nous avons donc décidé, tous les trois, de sortir en boîte ce soir. Après le repas léger, vite expédié, les filles prirent possession de la salle de bains pour se préparer. Je les entendais rire et se chamailler longuement et le temps passait, si bien que je me décidais à aller les bousculer un peu. J’entrais directement dans la pièce dont la porte était restée entrebâillée. Elles n’étaient vêtues que d’un minuscule string, noir pour Marina, rouge pour ma chérie. J’avais beau avoir vu ma femme nue des centaines de fois, je ne me lassais pas de son corps quasiment parfait, de ses seins gonflés tels des fruits à maturité, de son ventre plat qu’elle entretenait avec régularité, de ses fesses galbées dont nulle marque de bronzage ne venait gâcher la perfection des lignes, de ses hanches pleines de femme accomplie, et surtout de cette petite touffe de poils taillée avec précision qui signalait l’entrée du paradis, visible à travers la dentelle du léger sous-vêtement. Marina, la peau plus claire car elle n’avait pas encore profité du soleil, offrait avec une fausse pudeur son corps juvénile aux regards. Ses coups d’oeils furtifs montraient qu’elle cherchait à mesurer le degré d’intérêt qu’elle suscitait, et elle sembla heureuse de voir, grâce à mon érection évidente, que l’atmosphère était hautement électrique. Je pris Aurélie dans mes bras, l’attirant tout contre moi, mordis ses lèvres qui s’ouvrirent ...
... instantanément, laissant le loisir à ma langue de profiter de la douceur de la sienne. J’eus l’impression qu’elle fondait entre mes bras, et la pression de son ventre brûlant sur ma verge déjà bien excitée se précisa à un point tel que je n’étais subitement plus du tout présentable. Ma main posée sur ses fesses jouissait de la douceur inimaginable de cette peau semblable à une peau de pêche. — Je pense que c’est toi qui nous retarde maintenant, dit Marina.— La petite sœur est jalouse, je vois, répondis-je. Et je la pris elle aussi dans mes bras pour l’embrasser. Ses lèvres s’ouvrirent et, en me rendant fougueusement mon baiser, elle se pendit à mon cou et se laissa aller de toute sa sensualité contre ma poitrine. — Nous ne sommes pas encore prêts à partir, fit Aurélie, si cela se termine comme le mois dernier, nous ne sommes pas encore en boîte ! Je crois qu’il est temps de préciser ici la raison de mes relations privilégiées avec Marina et du consentement sans ambiguïté de ma femme. ***** Tout a débuté lors de sa rupture avec son petit ami où elle a eu besoin de soutien, auquel j’ai pris, comme je l’avais indiqué dans mon précédent récit, une part active. Cela se passait un soir de la fin mai. Nous vîmes Marina arriver à la maison, le visage défait, en pleurs, complètement désorientée. Elle venait de surprendre son ami en galante compagnie, dans leur propre chambre à coucher. Aurélie lui proposa donc immédiatement de rester pour la soirée afin d’en discuter et de voir ce qui ...