Deuxième jeudi
Datte: 12/09/2017,
Catégories:
f,
voisins,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Oral
fsodo,
aliments,
totalsexe,
La semaine se passe en pensant à Martha et au rendez-vous de jeudi. Pour s’assurer de ma venue, elle a mis un message sur mon répondeur, dimanche déjà : "Mon chéri, je t’attends avec impatience jeudi à midi pour le repas et ensuite passer un après-midi de rêve et satisfaire tous tes fantasmes lubriques, bises". Le son de sa voix grave et sensuelle me poursuit, on a l’impression qu’elle "baise" en parlant, ses paroles font vibrer mon échine et provoquent une érection immédiate. Voilà une femme qui aime faire l’amour, le dit, le vit et se donne tous les moyens pour y parvenir, j’en suis ravi. Jeudi midi, je sonne, la porte s’ouvre immédiatement, Martha me reçoit dans le plus simple appareil, nue comme un ver. Sa lourde poitrine, d’un ballottement, me fait signe d’entrer. Elle ferme rapidement la porte, toute personne sur la rue aurait pu l’apercevoir, mais le chemin est désert. — Mon mari ne rentre pas pour le déjeuner, nous sommes seuls, m’annonce-t-elle, suave, nous commencerons par baiser à l’apéritif, nous mangerons puis recommencerons au dessert. Le programme de l’après-midi ne variera pas. J’ai soif de ta verge, j’ai envie que tu m’enfonces ton pieu dans le vagin, ton pénis dans la bouche et ta pine dans le cul. Oh, que je me languis de ton engin… Elle arrête là ses élucubrations, sa main, fébrilement, saisit ma braguette. Elle arrache mon pantalon, déchire mon slip, fait sauter les boutons de ma chemise, attrape ma verge à pleine main comme si elle allait se sauver, la ...
... tord, la malaxe, à me faire mal. À genoux, elle rive sa bouche sur mon gland, lèche la hampe, me retourne, lape mon anus, aspire mes bourses, elle est déchaînée. Martha m’entraîne vers la cuisine, s’appuie contre la table, monte ses fesses sur le bord et se couche sur les assiettes. Elle me présente son sexe en écartant les lèvres intimes des deux doigts. Le trou noir du vagin attire son contraire qui va automatiquement le remplir. Pas le temps de réfléchir, il faut y aller, besogner à fond, ressortir et replanter. Quelques minutes et Martha est à point, elle se tortille sans se contrôler, bouscule la vaisselle et se met à jouir bruyamment. J’arrive assez rapidement dans le même état, sort au dernier moment de son antre et éjacule dans un verre. Une semaine de sevrage donne une production importante. Le calme revenu, j’offre généreusement le produit de mes entrailles à la bouche goulue de Martha. Une gorgée pour elle, une pour moi et nos bouches se réunissent goulûment. Après cette introduction originale, le repas peut débuter. De régulières caresses ponctuent nos mets, un sein, une fesse, un gland entre les haricots, le poulet et le vin. Un doigt dans le vagin, dans l’anus entre deux os à ronger. Nous arrivons ainsi au dessert. Martha garnit ses seins, son pubis et la raie des fesses de crème battue en neige, décore son sexe de chocolat fondu et se présente devant moi avec un plat de framboises. — Tu dois me nettoyer entièrement avant de me baiser, me dit-elle, les fruits te ...