Deuxième jeudi
Datte: 12/09/2017,
Catégories:
f,
voisins,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Oral
fsodo,
aliments,
totalsexe,
... pas trouvée si extraordinaire. Il ne comprend pas mon engouement pour ta verge. Je lui ai expliqué notre après-midi, il te trouve performant, mais pas si bien monté. En fonction de cela, il m’a demandé… et je ne sais pas si cela va te plaire, il m’a demandé une photographie de ta verge en érection ! Dans quel guêpier me suis-je fourré ? Que le mari encourage sa femme à rencontrer un amant, voilà déjà quelque chose de pas ordinaire, qu’elle lui raconte comment elle batifole avec moi, c’est encore plus spécial, mais là, une photo de mon pénis en érection, il y a dérangement sur la ligne. Martha continue comme si je ne réagissais pas : — Tu ne peux pas imaginer l’excitation de Loïc après le récit de nos exploits, il m’a sautée sur l’établi de l’atelier, plus tard il m’a enculée sur la cuisinière, il m’a ensuite fait l’amour encore deux fois dans la nuit, du jamais vu. Je reste abasourdi de ces propos, ma verge, au contact des doigts de Martha, se remet lentement à grandir. — C’est le moment de faire une photo, me dit-elle. Elle se lève pour aller chercher l’appareil numérique, j’essaie de remettre mes idées en place. Dois-je m’opposer à ce cinéma ou même tout simplement m’en aller ? Je n’ai pas le temps de prendre une décision que ses doigts enserrent mon vit, font glisser la peau sur ma hampe et une fellation de derrière les fagots achève de durcir le morceau. Une règle indique une altitude de 21 cm au-dessus du pubis, une rotation de 90° mesure un diamètre de 5 cm avec deux ...
... photos qui immortalisent ridiculement l’évènement. Elle pousse même la plaisanterie, en utilisant le déclencheur différé et posant l’appareil sur la table, de nous photographier, nus, en pied, le sexe arrogant. L’imagination de Martha n’a pas de limites et quelques prises de vues sont organisées en pleine fellation, gland touchant les lèvres, à moitié introduit et en fellation profonde. Satisfaite et fortement excitée, elle me saute au cou, m’embrasse à pleine bouche, fouille avec sa langue entre mes dents et me susurre d’une voix mouillée : — Viens, on va baiser dans mon lit ! Une invitation qu’il serait indécent de refuser. L’amour, au lit, dans des draps propres, sur un matelas moelleux, avec une femme insatiable, voilà, peut-être, une esquisse de ce que l’on entend derrière le mot bonheur. La verge rivée dans le vagin, des mouvements lents et doux, poussent Martha à jouir rapidement. Je passe dans un état supérieur, ma hampe est devenue de l’acier, je jouis sans éjaculer. Je suis comme le coureur de marathon qui après vingt kilomètres de course dépasse ses douleurs, produit certaines hormones et arrive même à être euphorique et ne plus rien ressentir. Mon circuit hormonal s’est mis en route, je retourne Martha sur le côté, attrape ses seins à pleines mains et m’enfonce à nouveau dans ce trou à verge. Je lime longuement et profondément, je longe les parois du vagin avec mon gland, en ressens la douceur, entre en contact avec le point G, l’observe et le titille comme si mon ...