Deuxième jeudi
Datte: 12/09/2017,
Catégories:
f,
voisins,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Oral
fsodo,
aliments,
totalsexe,
... seront servis au fur et à mesure de l’avancement des travaux. Je commence immédiatement par les seins que je lèche, mordille et nettoie rapidement, les tétons turgescents me signalent l’état d’excitation de la belle. Régulièrement, je reçois une framboise qu’elle me jette comme un biscuit à son chien. Ma langue descend vers le nombril chocolaté, le ventre et le pubis. Le nettoyage des poils s’avère un peu fastidieux. Ma langue atteint le clitoris enneigé, les lèvres crémeuses, pour continuer par la raie des fesses blanchie à la chaux et terminer par cet anneau plissé qui du blanc passe au brun foncé évoluant d’une odeur sucrée à quelques relents acres. Et Martha, avec une voix suppliante m’annonce, surprise elle-même de ses propos : — Encule-moi tout de suite… Je me déplace rapidement à la cuisine, trempe mon vit dans le bol de crème et reviens, la hampe joliment décorée, pointer ce cul offert. J’y entre comme dans du beurre avec un panache de crème autour. Martha gémit, les seins écrasés sur la table, la figure de côté, un sourire à la bouche. À nouveau, je mesure le plaisir qu’il y a à "besogner" une femme qui apprécie mes initiatives et qui en redemande. J’enfonce mon épée jusqu’à la garde dans un éclaboussement de crème. Les bruits de succions, les mouvements de va-et-vient, les cris de Martha, les ahanements de bêtes, nous amènent au paroxysme, à une jouissance sans mesure, à un éclatement de sperme au fond du rectum. Haletants, un peu groggy, nous nous dirigeons vers la ...
... salle d’eau pour un bain revigorant et mérité. Nous nous prélassons dans l’eau chaude, enlacés, soudés l’un à l’autre comme deux amoureux ayant peur de se quitter. Lavage, séchage mutuel, le temps d’admirer les courbes si érotiques de la femme, la rondeur des fesses, le golfe des hanches, la colline des seins, la courbure des épaules. Nous prenons ensuite le café, devisons calmement, assis, toujours nus, dans les fauteuils. Martha reste très près de moi, a besoin de toujours me toucher, admire ma verge, lui prodigue régulièrement un petit câlin de ses mains douces, soupèse mes bourses pleines, et annonce : — La verge de mon mari est nettement plus petite que la tienne… Le silence s’installe, nos sommes sur une pente savonneuse et je me hasarde malgré tout à répondre : — Une expression dit : "Vaut mieux une petite qui frétille qu’une grosse qui roupille".— La tienne est grosse et ne roupille pas, me rétorque-t-elle, un peu arrogante, mon mari me baise, prend son pied, lâche son jus et s’en va. Quand je lui en parle, il me dit que tout va pour le mieux, que nos relations sont satisfaisantes… Je suis gêné de ces aveux, j’aimerais bien passer à autre chose, mais Martha insiste : — Loïc prétend que je ne suis pas normale, le sexe, d’accord, mais ça n’est pas une priorité. Je suis frustrée et à force de discussions et engueulades, j’en suis arrivée à chercher un amant. Et te voilà ! Jeudi passé, continue-t-elle, lorsqu’il nous a surpris endormis, Loïc a examiné ta queue. Il ne l’a ...