Des vacances bouillantes (1)
Datte: 12/09/2017,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Je m’appelle Jérémie, je viens d’avoir 18 ans en ce vingt-deux juin. Comme d’habitude, c’est l’effervescence autour de cet anniversaire. Étant toute l’année en internat, je n’ai pas l’occasion de voir régulièrement les membres de ma famille. C’est donc en ce jour que j’ai fait connaissance de la nouvelle compagne de mon père. C’est plutôt une belle femme, les cheveux blonds frisés, une paire de fesses légèrement bombées, et surtout une paire de seins assez imposants. Lors de cet évènement, je retrouve aussi des cousins et cousines que je côtoie généralement l’été pendant les vacances. Les festivités se déroulent le plus simplement du monde, puis mon père Rodolphe me gâte, il a décidé de me payer le permis de conduire, puis de m’offrir ma première voiture. Les autres membres de la famille m’offrent des banalités, parfums, tee-shirt de marque, et des enveloppes contenants certainement de l’argent. En fin de dîner, mon paternel explique son projet pour les vacances, viendra qui voudra comme il dit souvent. Cette année, il souhaite partir en camping sauvage au bord d’une rivière qui se nomme la Nive au pied des Pyrénées, sans téléphone, ni autres gadgets informatiques en tout genre. Je dois avouer qu’au fond de moi, j’ai un peu de mal avec cette proposition mais pourquoi pas, après tout, c’est très ressourçant de se retrouver en pleine nature. Karine, la compagne de mon père est plutôt satisfaite de cette idée, je valide à mon tour, ma cousine Louise fait de même ainsi que ma ...
... tante et mon oncle qui sont ses parents. Les autres ne sont pas enchantés par cette aventure, préférant le sable de l’océan. Nous arrivons à la date de départ. Nous sommes le sept juillet deux mille dix-huit. Ayant un monospace contenant sept places, tous les membres de la famille partent dans le même véhicule. Il est aux alentours de neuf heures lorsque nous partons. Au bout d’un moment, nous arrivons à destination. Rodolphe stationne le véhicule sur une aire prévue à cet effet, puis nous prenons nos tentes et sacs à dos. Nous marchons environ, dix kilomètres, la chaleur est étouffante, puis nous arrivons sur un espace libre donnant sur le bord de la rivière. Le décor est somptueux, nous sommes presque au pied de la montagne. Nous installons les tentes, nous nous aidons mutuellement, puis très rapidement, j’enfile un short de bain afin de faire une baignade bien méritée. Visiblement, je ne suis pas le seul dans ce cas puisque les membres de ma famille ont fait de même. Nous nous prélassons dans cette eau, un peu fraîche, mais d’une clarté incroyable. Avec ma cousine, qui a vingt-quatre ans, nous nous amusons comme des enfants, on s’arrose, l’ambiance est vraiment superbe. Étant fils unique, je l’ai souvent considéré comme une grande sœur. De ce fait, nous nous sommes toujours bien entendus. Elle n’est pas très grande, un mètre soixante pour cinquante kilos, autant dire qu’il s’agit d’un poids plume. Ses seins sont plutôt agréables à regarder, mais c’est surtout la cambrure de ...