1. Des vacances bouillantes (1)


    Datte: 12/09/2017, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... peignoir. Apparaît alors cette fameuse poitrine. Les seins de cette dernière sont bien ronds, semblent fermes, et tiennent bien en place. Par manque d’expérience, je ne pourrais dire la taille de ces derniers, mais ils sont assez imposants. La femme de Mathieu ne se fait pas prier pour continuer son massage. De là où je suis, je comprends très vite qu’il s’agit maintenant de caresse, cette dernière prend les seins de Karine à pleines mains, les malaxe, titille même les tétons qui se dressent fièrement. Catherine guide maintenant la compagne de mon père. Elles ont légèrement reculé la chaise, puis s’embrassent. Les attouchements sont beaucoup plus précis. La femme de Mathieu tète la poitrine de ma belle-mère, aspire les tétons, puis se redresse afin d’enlever le haut de sa robe. Malgré son embonpoint, je la trouve plutôt jolie, et ses seins semblent bien lourds. Ils tombent légèrement, mais rien de déstabilisant. Karine profite de cet instant pour lacaresser. Les soupirs expriment leurs émotions réciproques. La femme de Mathieu déplace la tasse de café, puis s’assoit sur la table. Elle soulève le bas de sa robe, baisse saculotte puis prend la tête de la compagne à mon père entre ses mains. Elle la dirige en direction de son puits d’amour. D’où je suis, je ne peux voir la scène. Les bruits de succion ne me sont pas inconnus, je suis peut-être puceau, ...
    ... mais j’ai déjà regardé des films à caractère pornographique donc j’imagine très bien ce qui se passe. Lesdeux femmes échangent leur place, j’ai aperçu Karine complètement nue, et je comprends désormais la passion de mon père à son égard. Quand soudain, une main caresse mon épaule, je sursaute, puis cette même main se pose sur ma bouche. Je reste bien entendu silencieux, et vois Louise. Elle me pousse légèrement, observe la scène que j’étais en train de voir. Dans la pénombre, je peux voir ses yeux gros comme des billes. Je ne peux plus rester ici, je ne sais pas ce qu’elle pense de mon acte, et file dans la chambre, à pas de loup. Elle me suit, puis entreprend une conversation. Elle est tout d’abord surprise par le comportement de Karine, puis m’accuse de gros pervers. J’interviens aussitôt en lui disant que je ne pratique pas ce genre de choses régulièrement. Elle hausse les épaules, puis comme nous nous sommes toujours tout dit, je lui avoue une vérité embarrassante. Je lui explique que je n’ai jamais eu de rapports sexuels et que forcément à la vue de ces deux femmes, je ne pouvais m’empêcher de regarder. Dans un premier temps, elle affiche un sourire moqueur. Je lui demande de respecter cet aveu. Elle semble un peu plus conciliante. Il est vrai que notre entente et nos petits secrets de jeunes adultes n’avaient jamais passé le cap de la sexualité. 
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