Des vacances bouillantes (1)
Datte: 12/09/2017,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... ses reins qui me fait fantasmer. Les parents quant à eux sont beaucoup plus sages, ils font quelques longueurs, et discutent de tout et de rien. Lorsque je regarde en leur direction, je ne peux m’empêcher d’admirer le corps de ma belle-mère. La fraîcheur de l’eau fait généreusement pointer ses tétons, ce que ne manque pas de regarder Gérard mon oncle. Sacré coquin, me dis-je dans mes pensées. Je me fais sortir très rapidement de ce moment d’absence, par un pincement de Louise sur les fesses. Aurait-elle vu la direction de mon regard ? Je ne le sais pas, toujours, est-il que je prends ce geste pour de la taquinerie, puis j’arrose de nouveau ma cousine, puis lui coule de temps en temps la tête sous l’eau. Des vrais gamins, comme le disent souvent les parents. Mon père sort de la rivière, suivi par sa partenaire et les autres. Nous faisons de même. Nous profitons des quelques rayons de soleil pour sécher puis nous partons à la recherche de bout de bois afin de préparer un feu de camp. Avec Louise, nous nous attelons à cette tâche. Mon paternel a disposé des pierres en rond. À notre retour, nous y mettons le bois, puis le feu jaillit. Cela nous réchauffe un peu, mais avec la lourdeur du temps, cela est presque désagréable. Rodolphe a dans son sac tout l’équipement du campeur, et distribue des sandwichs à tout le monde. Une fois de plus, nous discutons de tout et de rien. La nuit commence à faire son apparition. Je me couche dans ma tente que je ne ferme pas afin d’avoir de ...
... l’air. Mon père et Karine se retrouvent tous les deux, et les autres membres de la famille font de même. Je tourne, vire, j’ai un peu de mal à m’endormir à vrai dire. La chaleur est étouffante quand soudain le grondement de l’orage fait son apparition. Tant mieux, me dis-je, cela va permettre aux températures de baisser. Quelques gouttes de pluie commencent à tomber du ciel, puis très rapidement l’averse devient un peu plus violente. Heureusement, que nous sommes sur un sol dur, car sur de la terre nous serions envahis de boue. Malheureusement, les précipitations ne se calment pas, la grêle arrive à son tour. Dans un premier temps, il ne s’agit que de petits grains de glace, puis très rapidement ces derniers grossissent d’une façon improbable. Ils font quasiment la taille d’un œuf de poule. Avec l’intensité, les toiles de tente commencent à être percées. Louise prend peur, et se réfugie dans mes bras, de son côté mon père fait de même avec Karine. Au bout d’un quart d’heure, le déluge s’arrête. Pour ma part, j’ai une légère contusion sur le bras. Soudain, nous voyons des lumières balayant les environs. Nous crions afin de prévenir de notre présence, les pompiers et gendarmes arrivent accompagnés d’un guide de montagne. Ils nous raccompagnent au parking, effectuent les premiers soins. Par chance, personne n’est blessé sérieusement. Malgré la mésaventure, je ne peux m’empêcher de voir les regards assez vicieux de la gent masculine sur la poitrine de ma belle-mère. Avec sa nuisette, ...