Mon Mac Allemand (2)
Datte: 21/11/2019,
Catégories:
Transexuels
... en plus forts. — Chiale gonzesse j’aime ça, te sentir à ma merci, tu vas comprendre qu’il faut souffrir pour me mériter. Enfin la séance prit fin, j’étais hébétée, le visage trempé de larmes, mon cul me brûlait, j’avais l’impression que la chair était à nu. Il m’ordonna de rester dans ma position, de ne pas bouger. — Je vais faire quelques photos de ton gros cul de salope, on voit bien ma signature, treize traces bien nettes. Dommage que ma sœur ne soit pas là, elle aurait adoré voir ça, je vais lui envoyer les photos avec mon portable, ça va bien l’exciter. Ce soir elle se fait baiser par deux blacks. Il s’absenta quelques instants puis revint avec son téléphone portable et une petite boite, il fait quelques photos puis ouvrit la boite, elle contenait plusieurs godes de tailles variées, un flacon de gel. Il prit un plug de taille moyenne et le flacon. J’avais compris. Il entreprit de me lubrifier le petit trou puis enfonça le plug d’un coup, je hurlai de nouveau. Il refit des photos puis remonta ma culotte. Il m’autorisa enfin à me relever, je m’exécutai et je remis ma robe en place. J’étais là debout devant lui, reniflant, j’essuyai mes larmes et j’attendais. Il s’était rassit et ne s’occupait plus de moi. Je ne savais pas quelle attitude adopter, j’étais un peu décontenancée. Je pensais qu’après ma punition il me demanderait de le sucer ou qu’il me baiserait. A vrai dire j’en avais très envie, malgré la douleur et le sentiment d’humiliation j’avais envie d’être culbutée ...
... comme une grosse salope que j’étais. Mais là, rien. C’est comme si je n’existais pas, il alluma une cigarette et se tourna vers le jardin. Quand il eut fini sa cigarette il me dit : — Vas au fond du jardin sous les arbres et attends-moi, tu tourneras le dos à la maison. J’obéis et me dirigeai vers le jardin, il y avait d’abord un petit potager, puis un verger d’une cinquantaine de mètres de long, les arbres se trouvaient au fond, avant il y avait une vingtaine de mètres sans arbres ou se trouvaient deux chaises longues et un parasol replié. L’ensemble du jardin était entouré d’une haute haie de plus de trois mètres, il était totalement à l’abri des regards indiscrets. Ma démarche était un peu raide, à cause du plug qui remplissait mon anus et aussi à cause de mes escarpins, je n’étais pas habituée à marcher avec des talons hauts. Parvenue à destination j’attendis. Cela dura un long moment, puis je l’entendis s’approcher, il m’entraina vers un arbre où un anneau métallique était scellé dans le tronc à environ un mètre de hauteur. Il me passa des menottes en cuir aux poignets et aux chevilles, ces menottes étaient reliées entre elle par une chaine, il prit une deuxième chaine et relia mes entraves à l’anneau de l’arbre. J’avais les mains dans le dos, mais je pouvais les bouger un peu, ce n’était pas trop resserré, je pouvais également bouger les pieds, la chaine faisait environ 50 centimètres. Il me fit me tourner vers la maison et me posa de nouveau un masque cache-yeux. Soudain ...