1. Aux Puces


    Datte: 22/11/2019, Catégories: fh, extracon, inconnu, bizarre, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, fsodo, fouetfesse,

    ... elle semble en feu. Elle n’y tient plus et se dirige vers le beau barbu avec des foules de questions. De quoi il retourne ? Qu’est-ce que vous leur faites ? C’est légal, votre truc, au moins ? Elle finit par se tétaniser car il est diaboliquement serein, l’homme qui la prend par le bras et lui dit simplement : « Viens. », et elle le suit. Quand la porte de la camionnette se referme, elle éprouve un amusement qui se mêle à l’appréhension légère qu’elle éprouve, mais elle reste surtout dévorée de curiosité. Ils sont dans un sas. Des tentures couleur abricot cachent l’accès au corps du véhicule. En trois phrases concises, l’étrange personnage lui explique qu’il est photographe et vidéaste amateur ; elle peut entrer dans l’espace intérieur, toucher à tout, montrer ce qu’elle veut, montrer, et sortir quand elle en aura assez. Ils se mettront alors d’accord sur la somme qu’elle emportera, c’est la seule règle du jeu. Carine n’arrive pas à croire qu’elle s’apprête à entrer là-dedans, mais une fugace pensée fait défiler dans son esprit toutes les jeunes femmes qu’elle a vues entrer puis sortir depuis ce matin. Elle ne veut pas être trouillarde ou se montrer telle, alors elle entre. Au physique, Carine est une belle plante, l’équivalent d’une de ces tsarines du tennis, avec de la finesse cependant dans les attaches. Elle détaille dans le grand miroir, qu’elle soupçonne clairement d’être sans tain, son habillement du jour, sexy malgré la froidure : une jupe en lamé, nubuk coloré, ...
    ... des collants de laine grise que recouvrent de ces grosses chaussettes de danseuses tirebouchonnées sur les chevilles et le bas du mollet. Le haut serait indifférent, si le gros pull ne cachait un bustier ravissant qui apparaît bien vite, car le véhicule est surchauffé. L’aménagement du van serait banal s’il ne dégageait pas une grande impression de confort. Ce n’est qu’ordre et velours, luxe et sérénité. Pas de surcharge, des matières sensuelles, à la façon d’un boudoir vieux rose. La série grège et automnale des Trois Suisses également. Quelques objets. Des vêtements que Carine parcourt du regard. S’y attendre : des sous-vêtements, plutôt, et plutôt coquins. Des articles de cuir. Des godes aussi. Des pines électriques reliées à de bizarres appareils. Des miroirs grands comme l’âme des amantes. Carine éprouve un vertige, peut-être l’anormale chaleur qui règne dans le van, mais c’est aussi tropical jusque dans ses pantalons. Sous le couvert feuillu s’écoule une rivière à présent, entre les vallées de chair. Que va-t-elle faire ? Elle commence à se déshabiller, il faut être logique, dans ce havre inattendu de douceur posé sur le parking overbooké. Elle garde le soutien mais aère sa chatte rapidement, faisant glisser le coton détrempé le long des deux remparts mobiles de sa féminité. Elle enfile l’une des culottes qui sentent un peu la concurrence, pas très hygiénique pour sûr, mais c’est voulu et c’est sensuel. Maintenant qu’elle est dévêtue comme une prostituée, et que pas un ...