1. Satisfactions


    Datte: 23/11/2019, Catégories: ff, jeunes, grosseins, sauna, jalousie, intermast, Oral 69, humour, Lesbienne

    ... mains alternaient sur son sexe, sa bouche, ses seins, son clitoris et ses fesses, au gré ludique de mes envies lascives. De la voir ainsi s’abandonner à moi me rendait furieuse ; j’avais envie de jouer avec elle ; j’avais envie de la faire jouir sans qu’elle puisse jamais me toucher. Et je la dirigeai rageusement vers la banquette où je la fis presque brutalement s’allonger. Je lui écartai brusquement les cuisses et y plongeai la tête, cherchant à coller ma bouche à ses lèvres trempées et odorantes. Et, maintenant ses jambes ouvertes, je me mis à la lécher impétueusement, m’immisçant quelque peu en elle avant que ma langue ne tournoie à toute allure sur son clitoris, puis lapant lentement ses lèvres de bas en haut à plusieurs reprises. Et je recommençai, et recommençai encore, encouragée par ses hurlements croissants et les mouvements de plus en plus saccadés de son bassin. Elle glissa bientôt un doigt juste sous mon nez pour s’exciter plus encore en titillant son clitoris, ma langue se joignant par instant à son majeur. Et elle souleva soudain ses fesses dans un geste brutal, ôta son doigt et pressa ma tête contre son corps en criant plus fort encore. Je mordillai une dernière fois ses lèvres brûlantes et lui glissai brutalement trois doigts, accompagnant jusqu’à la fin sa jouissance syncopée. Se décrispant d’un seul coup, elle s’immobilisa soudain devant moi. Je m’avançai à quatre pattes par-dessus elle et, frôlant des miens ses gros seins toujours ...
    ... gonflés, vins l’embrasser à pleine bouche, l’inondant du parfum enivrant de son plaisir écoulé. Puis je me relevai et, en réajustant ma robe, la regardai reprendre doucement ses esprits. Je me recoiffai ensuite rapidement devant la glace, lui pris un tic-tac d’une boîte qui traînait là et, lui adressant un dernier clin d’œil, poussai la porte en lui disant simplement : — Bonne nuit, à demain ! Elle ne me répondit pas ; elle paraissait déjà commencer à somnoler. Je redescendis presque en courant jusqu’au bar où j’avais laissées les autres. Elles n’avaient pas bougé et savouraient une nouvelle coupe de champagne. — Ça y est ? T’as sauvé le monde ? me fit Audrey.— Alors ? me demanda Lisa, apparemment quelque peu inquiète. Qu’est-ce qu’elle avait ?— Rien, rigolai-je. Elle a juste un peu trop picolé…— Et vous avez discuté ?— Euh… pas franchement… Devant le silence interrogateur de Lisa et Maï-Linh et malgré le sourire amusé d’Audrey, je continuai : — Je crois qu’elle avait juste besoin d’un gros câlin pour s’endormir… Je repris ma place entre mon amie et la belle Asiatique. — C’est peut-être pas la peine de t’asseoir… fit cette dernière. On t’attendait. À moins que tu veuilles reboire un coup ?— Non, c’est bon, répondis-je. J’suis prête… On y va ? Elles acquiescèrent en se levant ; nous sortîmes et, descendant encore un étage, prîmes le chemin de la discothèque. Il était déjà presque minuit et nous devions être prêtes à huit heures trente. La nuit allait être courte… 
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