1. Une situation embarrassante


    Datte: 27/11/2019, Catégories: Première fois

    « …les odeurs m’assaillent, odeur de sexe, de mouille mélangées à l’odeur de cul … »Le 22 Novembre 2015Alors que nous passons un weekend à Bruxelles, ma compagne et moi accompagnés de ses deux filles S. et J. nous sommes invités à déjeuner le Dimanche 22 novembre chez la grand-mère. Alors que j’ai déjà rencontré J. qui était venu nous rendre visite en France, la Grand-mère et S. me sont inconnues, si j’exclu toutefois les quelques mots que nous avons pu échanger au téléphone. (M. et moi sommes un jeune couple puisque je l’ai rencontrée au mois d’Août 2015 lors d’une balade à moto avec le club).S. est un peu enveloppée, ronde avec un visage poupin, joli, doux comme cela est souvent le cas chez les personnes ayant ce genre de physionomie. Malgré ses rondeurs ou à cause de celles-ci justement, je la trouve très féminine, sensuelle.Elle est ingénieur et voyage beaucoup, raison pour laquelle je n’avais jusque-là jamais eu l’occasion de la rencontrer.A table je suis à côté de J. et de la grand-mère qui préside, de l’autre côté de la table, S. et sa mère me font face. Le repas est très agréable avec des mets savoureux. Je remarque toutefois que S. me dévisage souvent et lorsque nos regards se croisent, elle me fait invariablement un joli sourire en coin avec des yeux rieurs, coquins. Je ne sais comment interpréter ces regards : tenterait-elle de me séduire ou est-ce pure curiosité du genre « Quel est cet homme qui est amoureux de ma mère » ? En tous cas elle me trouble, c’est sûr. ...
    ... Un moment je constate que j’ai laissé tomber ma serviette. Lorsque je me penche pour la ramasser, je découvre les dessous de la table et je surprends S. qui écarte les jambes. Je ne peux qu’entre-apercevoir furtivement l’intérieur de ses cuisses mais cela suffit pour m’injecter des frissons dans le bas ventre. Mouvement délibéré ou accidentel ?Le repas terminé, la grand-mère nous annonce qu’elle va faire une sieste. Ma compagne et J. proposent d’aller faire un tour dehors mais je décline, préférant moi aussi de tenter de faire une sieste. Aussitôt dit aussitôt fait et je m’installe dans un fauteuil au salon où je ne tarde pas à m’assoupir, un livre dans la main.Lorsque je me réveille, je découvre S. couchée sur le dos dans le divan, les jambes écartées, celle de gauche légèrement repliée. Je parcours son corps du regard, sa poitrine qui s’abaisse et se soulève légèrement au gré de sa respiration, sa poitrine qu’elle a forte comme sa mère, que je devine peut-être plus charnue, plus ferme, son ventre et son pubis dont le renflement transparait à travers le tissu de sa robe tendue, ses jambes dont les formes sont soulignées par la légèreté de sa robe. Aucun espoir de pouvoir mater ses dessous même si elle devait bouger les jambes, sa robe couvre jusqu’à ses chevilles ne laissant apparaître que ses pieds qu’elle a petits également comme sa mère.Je me lève sans bruit et me dirige vers la grande porte fenêtre, le sexe tendu par toutes ses images lubriques que je me suis fabriquées ...
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