Une situation embarrassante
Datte: 27/11/2019,
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Première fois
... en la matant sans vergogne. Je contemple les toits de Bruxelles Sud noyés sous la brume; un panorama magnifique que m’offre l’appartement situé au dixième étage de l’immeuble. Au loin j’aperçois les tours de refroidissement de la centrale électrique d’Anderlecht. Je suis perdu dans ma contemplation lorsque je sens une main se poser délicatement sur mon épaule. Aucun bruit sinon le souffle chaud au bas de mon cou. Je pense que ma compagne est rentrée, je ne bouge pas car je me sens bien, en paix. Une main se pose sur ma hanche, et presqu’aussi tôt s’aventure vers mon estomac, descend vers mon ventre et imperceptiblement commence à caresser en douceur mon sexe toujours dur à travers mon jeans. Je suis agréablement surpris ; je n’imaginais pas M. aussi « dévergondée », portée sur la « chose ». Excité, je me retourne et mes yeux plongent dans ceux en amande de S. Elle est si proche que nos visages se touchent presque. Je ne peux résister, je ne réfléchis même pas, je me penche et j’embrasse cette bouche qui m’est offerte gracieusement. Nos langues s’entremêlent et s’enroulent dans un suçon réciproque, nos mains se mettent à se balader à la découverte de nos corps. Impatient, je saisie une de ses fesses que je malaxe, pétris, caresse. Je soulève sa robe pour sentir sa peau. Quel bonheur de sentir cette fesse ferme ; ma main explore d’avantage et découvre son string lorsque je passe d’une fesse à l’autre m’attardant sur sa raie. Je bande à fond, d’autant plus que S. a collé son ...
... bassin sur mon ventre et s’est mise à faire des mouvements de rotation avec son bassin. Je deviens fou. S. pose le front sur ma poitrine et se recule légèrement ; elle tripote ma braguette des deux mains qu’elle s’efforce d’ouvrir ; je la laisse faire, profitant de l’espace laissé entre nous pour glisser une main entre ses jambes et remonter sous sa robe vers son ventre. Je caresse longuement l’intérieur de ses jambes remontant insensiblement vers son sexe que je fini par toucher des doigts à travers son string. Incroyable mais il est déjà tout trempé ; je n’ai plus l’habitude de ça, les femmes dans la cinquantaine que je connais prenant un peu plus de temps pour mouiller. Je m’attarde à cet endroit caressant sa vulve par un mouvement de va et vient avec mes doigts. S. n’est pas restée sans rien faire, elle a fini par sortir ma queue de mon pantalon et me branle de ses petites mains. Appuyée sur ma poitrine je la soupçonne de mater ma queue raide, sans doute mouillée aussi tant je me sens excité. On se caresse un moment, puis n’y tenant plus car sur le point d’éjaculer, je repousse S. et la pousse à reculons vers le divan. Elle appuie les fesses sur le dossier et écarte les jambes. Impatient, je remonte sa robe, écarte son string et tente d’introduire ma queue en elle. Mais je n’y arrive pas même avec l’aide de S. qui l’a prise en main pour la guider, ma queue est trop petite, ou sa position trop haute ou ses cuisses trop volumineuses. Enervé, je la retourne et la plaque le ...