1. Une situation embarrassante


    Datte: 27/11/2019, Catégories: Première fois

    ... ventre contre le divan. Je soulève de nouveau sa robe, enlève sèchement son string, la force à écarter plus encore ses jambes et fébrile, j’enfonce enfin ma queue en elle. Quel délice ! Ma queue glisse sans effort, j’ai même l’impression qu’elle trempe dans un bain de foutre. S . soupire fort, m’encourage à frapper mon ventre contre ses grosses fesses en les faisant claquer et vibrer. Elle aime ça ; j’ai une pensée ironique pour son petit ami qui est resté à Grenoble préférant passer le week-end avec ses amis plutôt que d’accompagner S. dans sa famille. Tu réagirais comment si tu apprenais que tu es cocu mon petit gars ? Y penser m’excite d’avantage. Les soupirs et les « Oui », « Plus fort » « Vas y » de S. me poussent à accélérer le rythme. Je ne peux détacher mon regard de son gros cul, de ses fesses qui tremblent à chaque bourrade ; je les écarte pour voir ma queue aller et venir dans sa chatte mais aussi pour mater son petit trou ; les odeurs m’assaillent, odeur de sexe, de mouille mélangées à l’odeur de cul à croire qu’elle ne s’est pas lavée les fesses depuis quelques jours. C’est trop bon, trop fort et j’explose en retenant un cri au fond de ma gorge (je reste assez lucide pour veiller à ne pas faire trop de bruit pour ne pas réveiller la grand-mère). J’en profite pour ...
    ... éjaculer au plus profond d’elle mais aussi entre ses fesses, sur son petit trou, dans sa raie, tant et où je peux. Enfin je m’écroule sur elle et reste affalé sur son dos jusqu’à ce qu’elle m’oblige à me relever. Je m’éloigne pour remettre de l’ordre dans mes habits alors que S. se penche pour ramasser son string. J’aperçois son décolleté qui baille révélant le haut de ses seins. Je n’en ai même pas profité pour les palper ceux-là, quel con je fais !S. le string en main se dirige vers les toilettes ; je suis déçu, j’aurais espéré qu’elle garde mon foutre sur elle, mais j’imagine que cela aurait taché sa robe.Je m’installe dans le fauteuil et lorsque S. revient s’installer dans le divan, après un silence gêné, nous échangeons quelques mots sur son boulot, sur ses voyages jusqu’à ce que la porte d’entrée s’ouvre bruyamment annonçant l’arrivée de M. et de J.Quelques heures plus tard nous accompagnons S. à la gare de Midi pour son train pour Paris. En l’embrassant sur les joues pour lui souhaiter une bonne route, je ne manque pas de poser discrètement mais fermement une main sur ses fesses ; pas de réaction de sa part. Je ne l’ai plus revue depuis mais je ne peux m’empêcher de fantasmer sur elle. Et en même temps, je ne peux m’empêcher de ressentir un fort sentiment de culpabilité. 
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