L'amour en monospace
Datte: 13/09/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... calés, Sandrine ripostait de ses hanches en couinant. Le 5008 tanguait sur ses amortisseurs tant le couple mettait du coeur à l'ouvrage. Heureusement qu'il avait actionné le frein à main ! Reynald passa alors à une phase dont il savait qu'elle allait faire jubiler son épouse. Au lieu de procéder à des poussées rectilignes, il se mit à tordre son bassin comme un danseur, à faire aller son pénis dans les recoins de l'intimité de la blonde, facilité en cela par l'extrême humidité du déduit. Comme prévu, Sandrine se laissa gagner par l'exaltation et devint crue dans ses propos. D'un abord froid, pour ne pas dire glacial, dans la ligne de la prof d'économie qu'elle était dans la vie professionnelle, elle se dégelait complètement dans l'amour, comme si l'autre facette de sa personnalité pouvait s'exprimer seulement quand elle commençait à perdre les pédales sous l'effet de l'acte sexuel : - Allez, vas-y, plus vite, défonce-moi, donne-moi ta pine, mets la bien au fond de ma chatte, ah oui, je baise, je baise... A ce point, Reynald comprit qu'il devait se retirer sous peine de tout lâcher, ce qui provoqua d'abord la protestation de son épouse : - Salaud ! Pourquoi tu t'en vas ? J'en veux encore. Reynald la rassura en lui proposant une autre position. Il s'assit sur le bord de la voiture, et l'invita à venir s'empaler sur lui, face à la nature. Cette idée l'enchanta. Allongé à moitié, coudes sur le plancher et jambes en dehors de la voiture, Reynald présentait sa queue dressée ...
... comme un défi, et Sandrine le releva en s'y empalant, ses mains posées sur les cuisses de Reynald, le regard perdu sur le plateau caillouteux. Elle se mit alors à se tortiller et le spectacle de cette croupe somptueuse en mouvement excita tellement Reynald qu'il eut l'impression que son pénis avait encore augmenté de longueur. Impression d'ailleurs corroborée par Sandrine qui laissa échapper une série d'exclamations sonores, comme si le pénis en s'allongeant avait atteint des zones encore plus sensibles de son intimité. Après une série de huit avec sa croupe, ponctuée de commentaires d'une crudité surprenante, elle prit l'initiative d'une nouvelle position encore plus jouissive pour elle. Se hissant à l'intérieur du coffre, accroupie et les mains en appui sur les montants du hayon, la tête de guingois du fait de sa grande taille, elle s'empala à nouveau et fit coulisser le pénis par une série de flexions éprouvantes pour ses cuisses mais terriblement jouissives pour le couple. Cette fois, Reynald ne resta pas passif comme sur la position précédente mais synchronisa ses poussées ascendantes avec celles descendantes de Sandrine, sans risque de la désarçonner puisqu'elle se cramponnait aux montants du coffre. Le spectacle de sa queue coulissant dans le tréfonds de Sandrine à intervalles très courts le mettait en transes. Les gémissements du couple couvraient à peine le clapotis des deux sexes joints alors que la 5008 tanguait de plus en plus sur ses bases. Mais la fatigue et ...