L'amour en monospace
Datte: 13/09/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... Puis elle se mit entièrement nue à son tour, c'est à dire qu'elle se débarrassa simplement de sa robe, étant ennemie du soutif en vacances, mais aussi de ses sandales. Reynald exigeait en effet qu'elle fût pieds nus, sans quoi elle n'était pas vraiment nue. Puis elle s'allongea de tout son long dans le hayon, cala ses pieds sur les deux montants, très ouverte, très disponible. Reynald choisit de débuter par un cuni dont il savait que son épouse raffolait. Il considéra d'abord la croupe largement offerte à lui. La position particulière de Sandrine, jambes très écartées et pieds calés en haut du hayon, avait eu pour effet de provoquer une passionnante rétroversion de son bassin , qui offrait à la fois la fente et l'anus à sa langue. Il passait de l'une à l'autre en prenant son temps, titillant ici, fouillant là, sous l'oeil captivé de Sandrine, la nuque inconfortablement dressée pour observer le travail de son mâle. Ses gémissements tenaient parfois du miaulement quand la langue avait touché un point particulièrement sensible. Debout en appui sur ses mains, le groin en action, le soleil tapant sur son dos et ses fesses nus, Reynald savourait ce moment exquis où son épouse se préparait à l'amour avec fièvre. Elle voulait baiser ? Il allait la baiser, et durement, à s'en faire mal aux couilles. Mais il allait d'abord la faire languir, pour la punir de sa mauvaise humeur... Quand il retira son mufle de l'entre-cuisses, il lui imposa de ne pas bouger de sa position parfaite. Il ...
... était à la bonne hauteur, debout contre le pare-choc. Il n'avait qu'à s'avancer pour s'enfoncer en elle. Il considéra le corps délicieux qui s'offrait à lui. Sandrine était ce qu'on appelle une fausse maigre. Grande et mince, elle avait aussi de la bonne chair là où il fallait pour faire bander un homme. Notamment son cul, charnu à souhait, des hanches en amphore, un léger renflement au bas du ventre, des seins petits mais ronds et fermes. Elle portait admirablement le jean serré au point d'attirer les regards masculins dès qu'elle se trouvait de dos. - Alors, tu viens ? Sandrine s'impatientait et il aimait ça. Il balada son gland sur la fente sans la pénétrer et elle eut un mouvement des hanches pour aller à sa rencontre, mais il se retira. Elle protesta. - Alors, viens, quoi ! A quoi tu joues ! J'ai envie ! - Tu as envie de quoi ? - De toi ! - Mais encore ? Sandrine se mordit les lèvres. Le gland sur sa fente l'affolait. Elle explosa : - Baise moi ! Je veux ta bite ! - Tu la veux vraiment ? - Oui oui oui ! S'il te plait, ta bite, bien profond ! Je la veux ! - D'accord, tu vas l'avoir, mais je veux que tu te lâches vraiment. Que tu baises vraiment ! - Oui oui oui, viens, viens ! Alors, il s'enfonça en elle d'une seule poussée et Sandrine poussa un long râle venu du fond de ses entrailles. Il la percuta avec ardeur, stimulé par le soleil qui lui piquait les fesses. La position était idéale. Son pénis pouvait donner sa pleine mesure dans ce déduit offert et trempé. Les pieds bien ...