1. Approche au Lunapark - 2


    Datte: 01/12/2019, Catégories: fplusag, jeunes, inconnu, poilu(e)s, vacances, Masturbation fdanus, hdanus, champagne, uro,

    La matinée torride avec Marianne m’avait cependant laissé sur ma faim, car elle m’avait vraiment utilisé, me privant de contact avec son corps pourtant dénudé. C’est dire si j’attendais le soir avec impatience !! Vers 21h, comme prévu, j’ai sonné à l’appartement de ma jolie vacancière. Il s’agissait d’un quatrième avec vue sur mer. Tout respirait le luxe et le bon goût. Ce n’était visiblement pas une résidence secondaire meublée à la hâte. Mon hôtesse était nu-pieds, revêtue d’une sorte de kimono noir à large ceinture nouée. Cette couleur et ce style mettaient bien en autant en valeur sa taille que son teint hâlé. Je n’avais pas fait grand frais de toilette, un pantalon classique et une chemise blanche très sport. Marianne m’accueillit par un très léger baiser à la commissure des lèvres et me fit signe de m’asseoir à ses côtés sur un vaste canapé aux coussins profonds. On s’y enfonçait profondément et c’était d’un confort remarquable. Son mouvement dénuda son genou jusqu’à mi-cuisses. Elle ne fit rien pour remettre en place le pan de son peignoir. Je ne m’en plaignis pas et, au contraire, j’en ai profité pour déposer ma main sur cette chair douce et chaude. S’approchant de moi, Marianne mit également sa main sur ma cuisse, mais vraiment très près de mon sexe dont elle devait presque ressentir les palpitations. Lovée presque dans mes bras, elle se mit à parler doucement, presque sans me regarder : — Aurélie dort, nous avons donc tout le temps devant nous. Je te dois des ...
    ... explications, car hier, au Lunapark, tu as dû me prendre pour une vieille allumeuse tandis que ce matin tu as bien dû te demander quel fantasme m’habitait. Crois-moi ou non, mais tu es le premier amant depuis mon mariage. Comme je te l’ai déjà dit, mon mari et moi formons un couple très épanoui sur le plan sexuel. Nos besoins sont ceux d’un couple normal. Je la laissai parler calmement sans l’interrompre, mais ma main avait remonté le long de sa cuisse et se trouvait maintenant sous le peignoir. Comme elle ne réagissait toujours pas, je me suis vite trouvé en contact avec un bout de tissu qui, au toucher, devait être un string de soie. J’ai glissé deux doigts dans l’échancrure et suis ainsi venu en contact avec cette toison dont j’avais déjà pu constater l’abondance ce matin. Je jouai avec les longs poils, me rapprochant de ses lèvres dont je devinai déjà l’humidité. Soudain Marianne s’exclama : — Arrête de me caresser quand je te parle, c’est déjà assez difficile. J’ai évidemment retiré ma main, mais je l’ai laissée sur la cuisse, assez haut sous le kimono. Ma compagne continua : — Je ne sais ce qui m’a pris avec toi, j’ai été affolée, allez bien savoir pourquoi, par la protubérance de ton sexe dans ton jean. Je me suis mise à fondre et j’ai eu une envie folle, irrésistible, de voir et d’utiliser ce que ton tissu cachait encore. J’ai cru à une vision, d’où mon mouvement de main assez incongru pour palper ton entrejambe. Ce matin, dans la cabine de plage, j’ai pu réaliser une ...
«1234...»