1. Approche au Lunapark - 2


    Datte: 01/12/2019, Catégories: fplusag, jeunes, inconnu, poilu(e)s, vacances, Masturbation fdanus, hdanus, champagne, uro,

    ... ouvertes, le peignoir baillant sur ses deux seins imposants. — Que fais-tu là ?, me dit-elle. J’entendais distinctement le bruit de son urine dorée qui s’écoulait dans le pot. J’ai glissé ma main entre ses cuisses et me suis mis à caresser son entrejambe pendant que le jet chaud se déversait sur mes doigts. Marianne devait être sous l’effet de l’alcool pour ainsi me laisser fouiller son intimité dans un moment aussi personnel. Distraitement, elle s’empara de ma verge qui était juste à sa hauteur et se mit à doucement la caresser du bout de sa langue. Je n’ai pu continuer à la laisser ainsi me caresser, car mon besoin devenait pressant. Guidant alors ma verge toujours bandée vers le bas, dans un gros effort j’ai pu libérer un peu de ma vessie. Je visais la foufoune de Marianne qui, les cuisses ouvertes continuait toujours de pisser. Elle se laissait faire, un peu inconsciente. Mes premiers jets d’urine facilitèrent les suivants, en me faisant un peu débander. Quelle scène à laquelle je n’aurais jamais osé rêver ! Me voici, verge au vent, en train d’uriner sur le pubis de ma compagne, après l’avoir caressée en pleine évacuation de ses urines ! Elle semblait aimer cela ou, tout au moins cela ne semblait pas lui déplaire. Il est vrai que les bulles libèrent de beaucoup de choses !!!! Marianne s’est levée, oubliant de refermer son peignoir et, sans se laver s’en est allée vers le salon. Je l’ai suivie, mais, en chemin, je me suis débarrassé de mes vêtements et c’est intégralement ...
    ... nu que je me suis assis à ses côtés. La gourmande vidait le dernier verre de champagne. Dans quel état allait-elle être ? Cette femme du monde, si BCBG et au langage habituellement si châtié était maintenant vautrée sur le canapé, peignoir ouvert, seins découverts et les cuisses ouvertes montrant une toison pubienne encore toute humide de son urine. Elle avait à côté d’elle un jeune homme nu qui venait de lui pisser dessus et qui allait bientôt la pénétrer. C’est pour cela qu’il était là, non ? Ma compagne avait mis une de ses jambes sur l’accoudoir du canapé et faisait ainsi bâiller son sexe. Elle se mit à y fourrager comme pour une masturbation solitaire. Et moi alors ? Elle semblait m’avoir oublié, dans les vapeurs de l’alcool. J’ai regardé attentivement la scène un peu surréaliste de cette femme si distinguée quelques heures auparavant, maintenant en train de chercher son plaisir par de frénétiques mouvements bruyants dans son vagin, nue, ouverte, mouillée et en présence de son futur jeune amant. Elle avait les yeux fermés et haletait, cherchant son plaisir dans de grands mouvements de son bassin. Un, deux puis trois doigts étaient profondément enfouis en elle. Son état d’excitation devait être à son paroxysme, comme en témoignait le bruit de clapotis qui sortait de ses cuisses. Son autre main caressait ses seins sans retenue, tirant les pointes, malaxant les globes, les palpant, jouant avec eux. Soudain, elle ouvrit les yeux et, me regardant, comme un peu surprise de ma ...
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