1. Approche au Lunapark - 2


    Datte: 01/12/2019, Catégories: fplusag, jeunes, inconnu, poilu(e)s, vacances, Masturbation fdanus, hdanus, champagne, uro,

    ... partie de mon fantasme, j’ai pu goûter, sucer, caresser, palper, jouer avec ton sexe si dur ! Je ne m’explique encore rien à moi-même, sauf que d’un seul coup, j’ai jeté aux orties tous mes principes de fidélité. C’est cependant ma première coucherie extraconjugale et je te demande de ne rien brusquer, de ne pas aller trop vite et de ne pas me forcer à faire des choses que je refuserais. Je suis très classique en amour. J’avais laissé parler Marianne sans l’interrompre, mais maintenant c’était à moi, non pas de parler, mais d’agir ! En bonne hôtesse, Marianne me proposa de boire un peu de champagne. Elle avait mis au frais un Roederer Cristal et elle s’en alla dans la cuisine chercher la bouteille. Elle l’ouvrit avec la dextérité de l’habitude. Elle semblait avoir perdu une partie de ses inhibitions, car elle ne se souciait guère de sa cuisse qui émergeait de son peignoir et, lorsqu’elle s’est penchée pour servir les verres, j’ai vu dans l’échancrure de son kimono que ses seins étaient nus. Elle se rassit à côté de moi et nous avons bu un peu de ce délicieux champagne. J’en ai pris une abondante gorgée et, sans l’avaler, je me suis approché des lèvres de Marianne et j’ai entrepris un long baiser laissant filtrer le champagne de ma bouche à la sienne. Elle a vite compris le jeu et nous nous sommes ainsi amusés quelque peu à nous échanger notre champagne, plutôt que de le boire au verre. Entre deux gorgées je lui ai murmuré à l’oreille : — Ma belle, gardons un peu de ...
    ... champagne pour y tremper ma verge. Quand tu la suceras, elle sera toute fraîche et pétillante dans ta bouche. C’était osé, mais je voulais tester. Sa seule réponse a été : — Tu es un coquin ! La première bouteille de Rœderer fut vite vide et Marianne s’empressa d’en ouvrir une seconde. Nous étions déjà tous deux rendus assez gais par les bulles et ma main s’était maintenant franchement égarée du côté de son pubis, franchissant la soie et batifolant dans sa foufoune, caressant les lèvres et palpant avec beaucoup de douceur son bouton d’amour déjà bien dressé. Les doigts de Marianne avaient défait le zip de mon pantalon, ouvert celui-ci et fait surgir ma verge bien dressée. Elle en jouait comme d’un jouet, sans précipitation, comme pour l’étudier, en apprécier le comportement. Elle découvrait le pli du gland, titillait le méat, faisait glisser la peau de ma hampe, s’attardait sur mes bourses, tout cela très lentement, faisant accroître encore mon plaisir naissant. Nos bouches faisaient aussi connaissance, nos langues apprenaient à se goûter, se mélangeaient en une danse au rythme lent. Tout cela laissait présager une longue nuit d’amour bien préparée. Marianne se redressa et me dit : — Excuse-moi un instant. Elle se dirigea vers une porte que je devinai être celle de la toilette. C’est vrai qu’après tout ce champagne, j’avais aussi envie d’uriner. Je me suis aussi levé et la queue au vent, bien dressée, j’ai ouvert la porte de la toilette. Marianne était assise sur le pot, jambes bien ...
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