1. Lettres d'une femme mariée - 1


    Datte: 02/12/2019, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail caférestau, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme pied, intermast, nopéné, journal, lettres,

    ... pouvoir plonger mon regard dans le sien tout en buvant ses paroles si flatteuses. — Vous ne pouvez pas savoir ce que cela représente pour moi, de partager ce précieux moment auprès d’une femme aussi belle que vous. Au risque de vous choquer, dès que je vous ai vue, je vous ai imaginée d’une façon précise… entièrement nue devant moi ! Comme si vous étiez l’apparition de la femme parfaite que j’ai toujours espéré rencontrer. J’avais l’impression de lire en vous un désir irrépressible que j’avais jusqu’ici gardé enfoui en moi. J’ai connu, je dois l’avouer, beaucoup de femmes, mais en vous voyant debout si proche, j’avais comme la révélation pour la première fois de percevoir ce qu’est vraiment la féminité. Bien sûr, au fond, j’ai pensé que ce discours, il l’avait tenu avec bien d’autres femmes et je devine ta conviction à se sujet. Mais j’avais terriblement envie de le croire ! Comme la chaleur de ses mains, c’était une chaleur si douce qui m’enveloppait toute entière,jusqu’au bout de mes pieds. J’ai ressenti alors un léger picotement délicieusement sensuel qui bientôt fut perceptible à la pointe de mes seins. Je sais que tu dois penser que je suis folle, que je te raconte là des histoires de midinettes. C’est peut-être vrai. Je crois que je suis folle de lui ! Tout doucement, il m’a demandé de me déchausser, pour moi aussi lui offrir la jouissance d’une « douce chaleur », celle du plat de mes pieds gainés de soie, caressant les siens. Nous sommes restés longtemps comme cela ...
    ... après le dessert, pour en savourer un plus succulent encore, celui de ce plaisir tactile, sensuel, éminemment sexuel aussi, comme si malgré la table qui nous séparait, nous ne formions qu’un, dans l’entrelacement de nos mains, les caresses de nos pieds presque nus… Comme la veille, j’étais soudainement possédée d’un désir terriblement violent et irrationnel. Un instant j’eus la vision exquise de cet homme se jetant sur moi pour m’arracher mes vêtements et me pénétrer à même le sol. Ce qui me tira de ma rêverie, c’est le regard de concupiscence avide qu’il porta clairement sur moi comme s’il était au même instant animé des mêmes intentions. Je ressentis dans tout mon être ce qu’il m’avait dit tout à l’heure. C’était comme si j’étais vraiment nue devant lui ! Il semblait deviner avec une telle ardeur ce que dissimulaient mes vêtements que je me sentis plus impudique encore, ici au milieu de ce restaurant, que si je m’étais retrouvée dans le plus simple appareil dans un lieu plus intime. — J’ai envie que nous partions d’ici !… Voulez-vous revenir dans mon bureau ? Cette phrase suscita chez moi un sourire involontaire lié au souvenir des douces paroles, pas si lointaines, où il me conviait pour la première fois à pénétrer dans son lieu de travail. En revenant dans la rue, main dans la main, j’aurais voulu encore ignorer la présence des passants pour le voir réaliser un désir fou : qu’il vienne glisser ses doigts chauds et humides sous ma petite culotte, qui l’était bien davantage ! ...