1. Lettres d'une femme mariée - 1


    Datte: 02/12/2019, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail caférestau, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme pied, intermast, nopéné, journal, lettres,

    ... Quelques instants plus tard, c’est précisément dans son bureau que nous nous retrouvions et que je me dis qu’enfin il allait faire cesser mon supplice. Mais au lieu de se jeter sur moi, il me demanda à nouveau de m’asseoir et s’installa dans son fauteuil ! Je me trouvais démunie. Je ne savais ce qu’il attendait ! J’avais tellement à lui offrir. Au bout d’un instant qui me paru interminable, il fit glisser son siège vers le mien pour se retrouver assis face à moi. Il se baissa alors et pris délicatement ma cheville droite pour la relever avec la même attention que celle que l’on porterait à cueillir une fleur fragile. À vrai dire, je ne me sentais plus du tout forte à ce moment là, et je me serais bien laissée cueillir toute entière. Pour l’instant il ne semblait convoiter que l’extrémité de ma jambe. Il se mit à me masser délicieusement la cheville, remontant doucement jusqu’au mollet et au pli du genou mais, alors que je pensais qu’il allait pousser son investigation plus loin vers un territoire qui ne demandait qu’à être exploré, il redescendit à ma cheville pour la libérer de la fine lanière qui la couvrait ! Il fit glisser ensuite ma chaussure qui tomba doucement en un bruit feutré sur la moquette et se mit alors à me masser la voûte du pied, procurant chez moi une sensation à la puissance érotique des plus exquises ! D’un côté, j’aurais souhaité que ce moment dure une éternité, et en même temps je voulais qu’il me pénètre. Je me surprenais alors à imaginer son sexe et ...
    ... c’est le moment qu’il choisit pour me mettre en contact avec lui. Il approcha un peu plus son siège et souleva encore mon pied pour le faire glisser entre ses grosses cuisses qu’il venait légèrement d’écarter. Je ressentis alors à travers le tissu de son pantalon son membre en érection, à la fermeté pour moi véritablement flatteuse. J’avoue que cette sensation de pouvoir sentir sa verge sous mon pied était des plus agréables et que ce contact électrisait tout le bas de mon corps, lorsque je fis glisser, dans un mouvement régulier, mes orteils le long de sa braguette. Bien sûr, le relief que je découvris ainsi, et que j’imaginai venir bientôt en moi, n’était pas d’un volume spectaculaire ! Son sexe paraissait plus court que le tien, mais aussi plus massif, à l’image du reste de sa corpulence. Sans même m’en rendre compte, j’étais bien en train de le branler ! En vérité, c’est l’étreinte de plus en plus forte de sa main sur ma cheville, pour accompagner et accélérer le mouvement de ma jambe, qui me fit m’en rendre compte. C’est alors que je pris l’initiative de me libérer de sa main pour ôter ma seconde chaussure et venir blottir, bien au chaud, mes deux pieds contre son sexe. J’osai ainsi avec une certaine témérité soutenir son regard sans bouger, comme si soudainement je me sentis la force de prendre la direction des opérations. J’écartai légèrement les cuisses pour lui offrir, comme la veille, mais de façon plus avantageuse, une vue sur ma petite culotte. Je saisis l’occasion, ...