Lettres d'une femme mariée - 1
Datte: 02/12/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
caférestau,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
pied,
intermast,
nopéné,
journal,
lettres,
... Au lieu de cela, il a reculé d’un pas et m’a adressé un large sourire : — À demain ! J’ai déjà confiance en vous et je pense que vous ne me décevrez pas ! J’espère que vous avez confiance en moi… Je me mis alors à lui sourire à mon tour et j’étais assez fière de parvenir à ne pas rougir devant lui. Mais alors, il m’adressa à nouveau la parole ! — C’est une très bonne idée d’avoir mis des porte-jarretelles. J’adore les femmes qui portent des sous-vêtements sexy, n’hésitez surtout pas les jours suivants ! Cette fois je devais être écarlate et je n’osai plus croiser son regard en quittant la pièce, comme une gamine prise en faute ! mardi 28 avril Mon tendre chéri, Hier, de retour de mon premier rendez-vous, tu m’as complimentée sur mon tailleur fuchsia qui découvrait mes « superbes » jambes gainées de soie à mi-cuisse. Je venais à peine d’être embauchée par celui qui n’était alors que mon nouvel employeur, mais je me souviens t’avoir embrassé avec toute l’énergie possible. Tu me trouvas vraiment sensuelle et j’avoue que tes propos n’ont fait que confirmer ce que je devinais ce jour-là. Mon bonheur n’était pas dû au simple fait d’avoir enfin trouvé du travail ! J’étais, bien sûr, heureuse de retrouver un poste dans une agence de voyage qui correspondait parfaitement à ma formation et à mon désir, mais l’entretien que je venais de passer, telle une élève appliquée auprès de mon nouveau patron, avait produit un curieux effet. Au retour de ce premier rendez-vous, j’avais une envie ...
... si forte de toi, que je t’ai léché avidement les lèvres pour te pénétrer de ma langue. Tu m’as brutalement agrippé les fesses sous l’effet de la surprise. Pendant que tu caressais le haut de mes cuisses nues, en frôlant du bout des doigts mes porte-jarretelles… J’ai alors fait sauter l’agrafe de mon soutien-gorge pour libérer ma poitrine. Je portai ce jour-là un chemisier de satin et j’éprouve encore de l’émotion en pensant aux caresses de mes bouts de seins gonflés contre ton torse. Je n’ai pu m’empêcher de te pousser doucement vers notre chambre tout en continuant à t’embrasser, comme si je devais boire un divin nectar issu de tes lèvres. Je me suis mise alors torse nu et puis j’ai libéré ton sexe déjà gorgé de désir ! J’ai arraché ma culotte et relevé ma jupe pour faire glisser ton membre dans mon intimité que je savais déjà chaude et onctueuse. J’avais envie de te regarder fixement, et le fait de te sentir en moi m’apaisa. En même temps, alors que je savourai ta présence, je pensai à lui… à cet homme que je venais de rencontrer et qui avait eu le pouvoir de me trouver enfin un travail. J’avais désormais besoin, plus que tout, de tendresse, et cette envie folle de partager jusqu’à la duplicité de mon émoi. J’aurais voulu même, si j’avais cru cela possible, que tu sois mon confident, mon complice. Je t’ai parlé de son âge, la cinquantaine et du fait qu’il m’avait mise tout de suite à l’aise. Tout en continuant de parler, je te massai la verge doucement avec mon sexe. Je t’ai ...