Lettres d'une femme mariée - 1
Datte: 02/12/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
caférestau,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
pied,
intermast,
nopéné,
journal,
lettres,
... dit qu’il m’avait demandé de parler de mes motivations et que j’avais alors exprimé combien je désirais ce poste. Pendant ce temps, je te gardai en moi en bougeant le bassin avec une lenteur voluptueuse et, alors que je te chevauchai, ma voix était à peine altérée par de faibles soupirs de jouissance. Je t’ai alors parlé de son ton flatteur en me disant que je correspondais exactement au profil qu’il recherchait. J’ai ressenti à cet instant que le fait de continuer, malgré tout, à te parler de cet homme devait te troubler. Ta voix n’était pas habituelle lorsque, comme un garçon timide, tu t’es mis à me demander s’il avait cherché à me séduire. Curieusement, était-ce sous l’effet de la jouissance, alors que je ne cessai de te caresser de mon vagin, ou parce que je me sentis alors avoir un pouvoir sur toi, je me souviens avoir esquissé un sourire en te disant que tu plaisantais, que c’était un entretien purement professionnel et qu’il avait été très correct. Tu étais persuadé en tout cas que je lui avais « tapé dans l’œil », et tu m’as dit alors ne jamais m’avoir vue aussi radieuse ! Je sais que je souriais vraiment et essentiellement cette fois parce que j’étais flattée. Alors que je me laissai envahir par le plaisir, mes yeux cherchèrent vainement à croiser les tiens, mais je n’arrivai plus à me contrôler et je me sentis partir… Avec le recul, je crois avoir été totalement impudique en t’offrant le contact de mon postérieur se frottant contre tes doigts et le spectacle de ...
... mon abricot d’amour presque imberbe qui coulissa sur ta verge tout en la lubrifiant… Et puis il y avait surtout le fait de continuer à te parler, sans plus réaliser ce que je disais. Je me souviens t’avoir dit qu’il n’était pas sans charme mais pas très beau non plus. Un peu trop enrobé et, qu’au moins dans son apparence, il ne devrait pas te plaire, avec son côté un peu m’as-tu-vu et macho. Et puis j’ai dû t’avouer que malgré tout, il me faisait bonne impression, qu’il m’inspirait confiance. Ce dont je me souviens aussi, c’est que ce jour-là, j’ai joui comme cela ne m’était pas arrivé depuis longtemps… Plus tard dans la soirée, j’ai pensé que j’étais peut-être allée trop loin et, qu’en te montrant à quel point j’étais excitée, tu devrais forcément te douter qu’il s’était passé quelque chose. Mais ce matin, quand je suis partie avec ma jupe blanche plus courte encore que la veille et un chemisier échancré, je n’ai senti aucun reproche de ta part ; plutôt un sentiment de fierté, puisque tu m’as dit que j’étais plus séduisante et plus belle que jamais. Ce que tu n’as pas remarqué ce jour là, c’est que j’avais encore mis des porte-jarretelles et ce n’était pas, cette fois, sur tes conseils. Et qu’il suffirait que je sois assise, pour qu’apparaissent au-dessus de mes bas de soie claire, le haut de mes cuisses nues ! J’avais mis également une fine culotte de dentelles qui, par de menus frottements à chacun de mes pas, agaçait délicieusement mes petites lèvres. Arrivée à l’agence, je ...