1. Ma femme est une pute


    Datte: 02/12/2019, Catégories: fhh, fhhh, extracon, cocus, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral Partouze / Groupe

    Lorsque l’on rentre dans la maison, un grand rez-de-chaussée de plain pied, on peut, du réduit situé à droite de la porte, appréhender le grand salon à gauche, la salle à manger à droite et la cuisine en face. Juste en face de ce poste d’observation, l’escalier qui, entre la cuisine et la salle à manger, monte au premier étage et mène à la chambre, la terrasse et la salle de bain. Ce qui m’a surpris, c’est l’appel du plombier confirmant sa venue le lendemain. Habituellement, mon épouse m’informe de ce genre de visite surtout, elle me laisse les organiser. Je me suis alors rappelé qu’un jour, Edith m’avait glissé qu’elle trouvait le plombier assez beau. Par jeu, je l’interroge sur son programme du lendemain. Elle me parle de courses à faire, d’un déjeuner avec une amie. Rien sur cette visite. Je voulais savoir. Mon épouse a toujours été très réservée, discrète et peu ouverte aux pratiques sexuelles non classiques. Certains pourtant, m’ont laissé entendre qu’avant de me connaître…. Le lendemain matin, je pars travailler, la laissant, vêtue d’un pull et d’un jean, avalant son petit déjeuner. Je me suis contenté d’aller garer la voiture quelques rues plus loin et, revenu à pieds, j’ai attendu de la voir monter au premier étage pour rentrer discrètement dans la maison et me glisser dans le petit réduit, à droite de la porte. Il n’est fermé que par un rideau ; j’y avais placé un tabouret et une bouteille d’eau. Je pouvais attendre et voir tout ce qui pourrait se passer au ...
    ... rez-de-chaussée. Pas très confortable. Mais on y tient debout ou assis et surtout, on peut tout voir. Après une vingtaine de minutes, je commençais à regretter. Je me trouvais dans une situation stupide. Rien n’arrivait et je ne savais comment partir discrètement. C’est là que la sonnerie me fige. J’entends les pas de Edith et la vois apparaître dans l’escalier. Elle a quitté sa tenue du matin et, semblant sortir de sa douche, porte un peignoir et des mules. Elle ouvre la porte et, comme prévu, le plombier entre. Elle lui parle d’une fuite dans la cuisine, disfonctionnement dont j’ignorais l’existence. Il a sur elle un regard intéressé, interrogatif et surtout insistant. Elle rougit légèrement. Je pense que c’est à cet instant qu’il a du comprendre la raison de sa visite et l’envie d’Edith. Moi, je n’avais plus de doute, heureux d’être resté mais ne pouvant imaginer ce à quoi j’allais assister. Il se dirige nonchalamment vers la cuisine, abandonnant sa trousse d’outils. Elle lui propose un café qu’il accepte, d’autant plus que je constate qu’il est déjà prêt. Je la vois emplir la tasse et préparer le sucrier. Derrière elle, l’homme semble s’affairer sur l’évier. Je vis alors très distinctement le geste d’Edith, déliant la ceinture qui tenait son peignoir. Elle prend la tasse de café dans la main droite, le sucrier dans la gauche, se tourne vers le plombier en disant : « Voilà ». Au même instant, il se tourne vers elle et la ceinture déliée tombe, le peignoir béant laissant Edith quasi ...
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