1. Ma femme est une pute


    Datte: 02/12/2019, Catégories: fhh, fhhh, extracon, cocus, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral Partouze / Groupe

    ... nue face à lui. Elle a les joues vraiment rouges. Il regarde, semble hésiter un instant puis s’approche et doucement, pose les mains sur les deux délicieux petits seins ainsi offerts. Elle reste complètement immobile alors qu’il lui caresse longuement les seins, puis glisse une main entre ses cuisses. Il cesse un instant, soulève la tasse de café de la soucoupe qu’Edith tient de sa main droite, attrape un sucre. « Ne bougez pas ! » Il boit une gorgée, repose la tasse, s’empare à nouveau des seins, en relâche un pour finir le café. Et lui prenant des mains tasse et sucrier, les poses pour faire glisser le peignoir qui tombe sur le carrelage. Il commence alors à palper, fouiller, caresser son corps, s’insinuer dans ses orifices et cela très longuement. Edith, regard vers le plafond, gémit. Il dégrafe son pantalon, le fait descendre sur ces chaussures et, dressé, se place derrière elle, caressant sa verge entre les fesses d’Edith tout en lui pinçant les seins. Je crois ne l’avoir jamais vue si ouverte, offerte. D’une main, il appuie sur son épaule, la menant à s’accroupir. Je vois son gros sexe à la hauteur du visage de mon épouse. D’un coup, il s’enfonce dans sa bouche, pose ses deux coudes en arrière pour s’appuyer au plan de travail. Edith, ainsi accroupie devant lui, le suce, avalant la presque totalité du membre. Il lui parle, je n’entends pas, je la vois cesser son va-et-vient pour lécher le pénis dans toute sa longueur. Puis elle reprend sa fellation. C’est là, après un ...
    ... temps incertain, que l’homme s’est retiré. Il attrape alors la chevelure d’Edith à pleine main et, de l’autre main, se masturbe. Une première giclée file en l’air et retombe sur le visage d’Edith. Presque simultanément, tirant sur les cheveux, il s’engouffre à nouveau dans sa bouche et je vois, à ses tremblements, qu’il achève de s’y répandre, laissant filer un léger gémissement. Il se retire, après de longues secondes, flasque, lâchant juste « Bon début ! » et ouvre le réfrigérateur pour se servir une bière. Je les devine échanger quelques mots et ils marchent vers le salon ou Edith s’allonge sur la table basse. La bière finie, je le vois approcher le goulot du sexe d’Edith. Elle semble hésiter, il la guide, la pénètre lentement avec la bouteille commence un mouvement lent puis la laisse poursuivre seule. Avachi sur le canapé, il regarde. Subitement, il se lève, remonte son pantalon et sort devant la maison juste en tirant la porte derrière lui. Très vite il revient et reprend sa position d’observation, retire chaussures, pantalon et caleçon. D’un ton négligent je l’entends dire : « Je viens de proposer à deux amis de venir prendre un café. Vous aimerez » Puis, sans lui laisser le temps de répondre, de réagir, il se lève brusquement la tire vers lui, fait glisser la bouteille vers le sol et retourne Edith. En un instant, elle se retrouve à quatre pattes sur la table basse, lui derrière la pénétrant sans effort. Elle gémit, supplie, crie, jouit. Il continue, puis se plaque ...
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