1. Ma femme est une pute


    Datte: 02/12/2019, Catégories: fhh, fhhh, extracon, cocus, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral Partouze / Groupe

    ... entre les fesses d’Edith pour éjaculer, une gerbe de sperme arrosant le beau dos nu. Ils sont restés longuement ainsi. Puis, elle s’est relevée, marchant jusqu’à la cuisine et revenant avec un verre d’eau qu’elle boit et une nouvelle bière qu’elle lui tend. Il lui glisse quelques mots insaisissables et s’affale à nouveau sur le canapé, ridicule ainsi vêtu de son seul tee shirt. Edith est montée à l’étage. J’entends brièvement la douche couler. Lui, tourne dans la pièce. Il tire les rideaux, allume quelques lampes tamisant ainsi l’atmosphère puis, étale à terre, après avoir bougé la table basse, une nappe qu’Edith lui a donnée juste avant de monter. Comme lors de l’arrivée du plombier, j’entends ses pas avant de la voir apparaître dans l’escalier. Elle redescend, portant uniquement un serre-taille, des bas, des escarpins à talons avec une fine bride autour de la cheville et un collier de perles, cadeau d’un de ses amours de jeunesse. Elle est absolument splendide, sa peau nue, légèrement halée, si parfaitement mise en valeur par le noir de la lingerie et de son pubis. Je crois ne l’avoir jamais trouvée aussi belle, sa chevelure libérée caressant ses épaules, ses fines jambes, sa taille cambrée, ses petits seins aux pointes brunes dressées, jeunes fruits d’amour. En passant, elle dépose sur la table deux de mes vieilles cravates. Il a sifflé, de toute évidence d’admiration et s’est approchée pour la caresser. Elle est restée debout face lui, jambes écartées, mains derrières ...
    ... la nuque. D’une main, il jouait avec les seins et de l’autre, la masturbait, comme guettant ses réactions. Tête relevée, elle respirait bruyamment, par saccades. Ils étaient ainsi quand la sonnette de la porte a retentit à nouveau. Il a jeté un œil par la fenêtre et est revenu vers elle. À nouveau, je l’ai vu lui parler sans pouvoir saisir ses mots. Edith s’est dirigée vers le centre de cette nappe rouge tendue sur le sol par le plombier. Elle s’y est agenouillée. Avec l’une de mes vielles cravates, il lui a bandé les yeux, avec l’autre, il lui a lié les poignets dans le dos (avec moi elle avait toujours refusé les jeux de liens) puis s’est dirigé vers la porte. En ouvrant, il a laissé filé « Ah, finalement vous êtes là tous les trois ! ». J’ai entendu ensuite des commentaires admiratifs prononcés par des voix qui se mêlaient. Ils se sont approchés d’Edith pour mieux la voir. J’étais si excité et troublé que, les ayant pourtant vus, je serais dans l’incapacité de les décrire, de les reconnaître. Le plombier, jouant au maître de maison, proposa des bières. Ainsi munis, ils se sont installés autour d’elle, deux sur le canapé, les deux autres dans des fauteuils, formant un demi-cercle autour d’Edith qui demeurait à genoux, liée, silencieuse, nue et immobile. En quelques mots plutôt colorés, le plombier a raconté le début de la matinée, depuis son arrivée. Le visage d’Edith était écarlate. Lentement, les trois nouveaux se sont entièrement déshabillés. Un premier s’est avancé vers ...
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