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L'INCONNU DU CINEMA (7)
Datte: 14/09/2017, Catégories: Partouze / Groupe
... ma lubrification facilitait les introductions répétés. Je regardais fixement cette bite énorme sortir et me dilater la vulve à chaque nouvelle pénétration, a chaque fois je me demandais si elle allait pouvoir entrer de nouveau tellement elle était incroyablement grosse. A chaque fois mes chairs se dilataient autour de l’énorme gland qui cédait enfin pour ouvrir la totalité du passage, il pouvait ainsi me déchirer à fond en libérant à chaque fois des tsunamis de plaisir Son regard parcourait mon corps à la recherche du moindre signe de plaisir pour satisfaire son ego, le moindre frisson, la moindre petite convulsion lui procurait un plaisir immense. — Tu l’aime ma bite, hein… allez…dit le… — Humm… oui….oui….je… l’aime — Tu aime quoi ? — Humm… ta bite…je l’aime… Il m’a aussitôt administré une autre claque sur les fesses — Qui ta permis… je répète…tu aime quoi ? — Humm…votre bite…j’aime votre bite…elle est trop…bonne — Voilà, on y arrive… vous avez vu les gars… comment on dresse une putain — Ouuuiiiii… je suis votre…humm…putain…. Comprenant que j’allais bientôt me lâcher il a accélérer la cadence, je mouillais tellement que maintenant sa bite entrait et sortait très facilement. — Regardez les gars, maintenant elle sera trop large pour vos petites bites Je me sentais partir, en transe, les yeux révulsés et la respiration haletante mon corps se crispait tout entier pour contenir la jouissance qui montait. — Han…han…han…tiens prend ça…régale toi ma petite pute… Plus il me ...
... baisait et m’insultait de pute devant tous les autres et plus mon excitation montait, l’humiliation et la soumission étaient pour moi de puissants aphrodisiaques. — Ouuuiiiii… j’aime votre….humm…grosse bite…humm Au bord de la jouissance, nos corps se livraient l’un à l’autre, sa queue ressortait complètement pour reprendre de l’élan et pour replonger aussi vite cogner mes ovaires. Je tremblais à chaque coup de bite qui m’écartelait la moule et n’arrivais presque plus à respirer tellement je haletais de plaisir. Soudain il s’est contracté de tous ses muscles, se crispant de toutes ses forces et à planté ses doigts dans la chair de mes anches en lâchant un cri d’animal. — Haaaaaaaaaaaaaaaaa…sale pute…tu me vide les couilles… Tout en se vidant il continuait à me bourrer à grand coups de reins — Je vais t’engrosser salope… prend tout mon jus… La déferlante de sperme chaud à déclenché l’explosion finale, je me tordais dans tous les sens malgré mes entraves, la bouche grand ouverte je jouissais tellement que je ne pouvais même plus crier. Je suais de partout, mon corps perlait et sentait le sexe, tous nos voyeurs n’en croyaient pas leurs yeux, peut être n’avaient ils jamais vu une femme jouir autant. Mon baiseur à pris sa queue dans sa main pour la ressortir doucement de ma chatte, libérant un bruit caractéristique à la sortie du gland, ma chatte est resté béante laissant couler le liquide fécond en abondance sur mes fesses. Il a ensuite frotté son gland le long des grandes lèvres pour ...