L'INCONNU DU CINEMA (7)
Datte: 14/09/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... essuyer son méat qui perlait quelques dernières gouttes, puis en reculant il dit tout fort. — Voilà comment on baise une pute. Pour ma part je reprenais doucement mes esprits, j’avais la chatte en feu, les fesses meurtries, mal aux bouts des seins et je n’étais pas prête d’oublier cette superbe queue de géant qui m’avait ravagé la moule. L’attroupement des voyeurs regardait le sperme qui s’écoulait et la quantité était plutôt impressionnante, à la mesure de la taille de l’engin. — Je lui aurais bien éclaté le cul, mais je préfère vous laisser un trou à votre taille les gars. rotriiks Non seulement il m’humiliait mais il humiliait aussi ses amis qui restaient tous impressionnés par sa prestation. Je venais de me faire baiser par quatre mâles en rut en moins d’une heure, passant d’une petite bite néanmoins experte à un membre de colosse et j’ai joui plusieurs fois très intensément, ce qui ma complètement épuisée. Mais il me restait encore quatre autres mâles à vider et ils ne comptaient pas abandonner leur tour comme ça, que déjà l’un d’entre m’enfilait sa queue dans la chatte encore toute gluante de foutre. Il a fait ce qu’il a pu mais j’étais exténuée et il m’était impossible de jouir de nouveau aussi rapidement, à son tour il m’a déversé tout son foutre pour laisser la place à un autre et puis à un autre et enfin au dernier dont la bite nageait carrément dans le mélange de cyprine et de sperme. Ce n’est qu’a ce moment là que j’ai percuté, le seul homme de la soirée qui ai ...
... mit un préservatif était le plus âgé, tous les autres m’avaient baisé sans aucune protection en me remplissant de foutre. Mais il était trop tard pour rouspéter et je ne crois pas qu’ils auraient tenu compte de mon éventuelle réclamation. J’étais tellement épuisée que je ne les ai pas entendus sortir de la pièce et c’est les caresses tièdes de la toilette que me prodiguait la petite brunette qui nous avait servi le repas qui m’ont plus ou moins sortit de mon état de somnolence. J’étais détaché de mes liens et on m’avait libéré le visage, mais je restais là à savourer la tendresse avec laquelle la demoiselle me nettoyait les parties intimes qui avaient vraiment souffert. A chaque passage elle rinçait le gant de toilette dans une cuvette d’eau tiède, nettoyant tout le sperme qui commençait à sécher sur ma peau irritée. Toujours avec sa voix douce, elle me demanda très doucement : — C’est douloureux ? — Non, au contraire ça soulage, merci. — Ils n’ont pas été trop violents avec vous ? — Non…heu, si… peut être un seul… un peu plus dur que les autres. — Nous l’appelons (la brute), mais venez, il faut que je vous ramène à votre chambre pour finir votre toilette Je me suis relevé pour descendre du meuble, ma tête tournait encore un peut et j’ai dû m’appuyer sur l’épaule de ma nouvelle amie. Tout en nous dirigeant vers la chambre, j’ai tenté de lui soutirer quelques confidences mais elle ne voulait pas dévoiler ses secrets. — Je m’excuse, mais je n’ai pas le droit de vous dire quoi que ...