1. Florence


    Datte: 11/12/2019, Catégories: ff, fépilée, vacances, plage, piscine, Masturbation init, Lesbienne

    ... retrouver enfin dans cette situation tant de fois fantasmée. Elle me dévisagea et s’approcha lentement de moi. Nous nous sommes enlacées pour un nouveau baiser qui fut long et torride. — Allons dans ta chambre, me dit-elle en me prenant par la main. Mon lit n’était pas fait et la pièce était un peu en désordre. Les persiennes étaient closes. La lumière tamisée et la température moins chaude créaient, par contraste avec l’extérieur, une ambiance très agréable. Sitôt la porte franchie nos lèvres se joignirent encore. Une des mains de Florence glissa sous mon tee-shirt et elle caressa mes seins. Ce contact m’excita follement. Elle glissa ensuite cette même main dans mon short puis dans ma culotte. Elle passa de mes fesses à mon sexe. Je croyais rêver : cette femme magnifique était en train de me toucher le sexe. Je n’avais jamais connu une telle excitation. J’avais envie de lui rendre le plaisir qu’elle me donnait. Je remontai un côté de son ample jupe et je lui caressai les fesses. Elle prit ma main et la guida vers cette vulve épilée que j’avais eu le plaisir de contempler la veille. Mes doigts s’insinuèrent sous son string. La moiteur glissante que j’y trouvais m’indiqua que Florence était dans le même état que moi. J’étais sans doute moins hardie que ce qu’elle souhaitait car elle me chuchotait des encouragements dans l’oreille : — Vas-y… là… oui… Pour la première fois, je touchais le sexe d’une autre femme. Ce que j’imaginais depuis si longtemps au cours de mes plaisirs ...
    ... solitaires devenait réalité. J’avais l’étrange impression d’être à la fois actrice et spectatrice de la scène. Elle mit fin à cette étreinte pour se déshabiller complètement. Je la regardai faire, elle quitta sa jupe, son petit débardeur, son soutien-gorge et son string. Elle s’allongea sur mon lit, sur le côté en appui sur un coude, un genou relevé dans une pose totalement impudique et m’observa. Je me rendis compte qu’elle attendait que je me déshabille aussi. Je quittai donc mon short et mon tee-shirt mais je marquai un temps d’arrêt. — Que se passe-t-il ? Tu n’oses pas ? Tu ne veux plus ? Elle semblait vraiment inquiète mais sa voix était douce. — Si, mais… ça me fait drôle. Florence quitta le lit et s’agenouilla devant moi. Elle plaça ses doigts de manière à descendre ma culotte mais arrêta là son geste en me regardant intensément. — Je peux ? demanda-t-elle doucement.— Oui, répondis-je presque timidement. La petite pièce de lingerie se retrouva à mes pieds. Florence se releva, mit ses mains sur mes épaules et me regarda. Je pensais qu’elle allait m’embrasser mais ce ne fut pas le cas. Elle m’attira vers le lit où nous-nous allongeâmes côte à côte. Commença alors une longue séance de caresses mutuelles. Elle explora tout mon corps, j’explorai tout le sien. Les caresses devinrent des attouchements et je réalisai, qu’en fait, elle était en train de m’initier à l’amour. Ce qui m’étonnait le plus c’était d’être aussi sereine à ce moment. En dehors du plaisir que je me donnais ...
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