1. Florence


    Datte: 11/12/2019, Catégories: ff, fépilée, vacances, plage, piscine, Masturbation init, Lesbienne

    Depuis une bonne vingtaine d’années mes parents avaient pour amis un couple dont le mari était l’associé de mon père dans leur cabinet d’avocats d’affaires. Ce couple avait divorcé quelques mois auparavant et l’homme venait de se remarier avec une femme de dix-sept ans de moins que lui. Mon père et son « ami-associé » avaient décidé que nous passerions les vacances tous ensemble. Ma mère était restée très amie avec l’ex-femme de cet homme et cette perspective n’enchantait pas. Elle fut difficile à convaincre ; Papa a dû beaucoup insister pour qu’elle finisse par accepter. Ils louèrent, dans le Var, une belle villa qui était dotée d’une piscine. C’était encore rare à l’époque. Mes parents et moi y sommes arrivés un samedi matin. Leurs amis, qui étaient retenus à Paris pour le week-end, devaient nous y rejoindre le lundi. Durant ces deux jours je déchantais. La villa était à vingt kilomètres de la mer par des routes souvent encombrées. Le village était charmant mais peu animé. Il n’offrait que peu d’intérêt à mes yeux de jeune citadine. J’étais allée m’y balader et j’étais passée près d’un petit groupe de garçons et de filles qui avaient tous à peu près mon âge. Ils m’avaient regardée comme une bête curieuse. Les garçons avaient vite repris les bricolages de leurs cyclomoteurs et je devinai les commentaires des filles dont je sentais les regards dans mon dos. La villa était grande. J’étais installée dans une belle chambre avec une vue splendide. Le jardin était magnifique et ...
    ... la piscine était un luxe appréciable. Malgré tout, je sentis vite que cela ne suffirait pas à meubler tout mon temps. Je regrettais déjà Paris. L’ambiance entre mes parents n’était pas géniale non plus. Ma mère faisait lourdement sentir à mon père qu’elle n’appréciait pas vraiment la situation. Si les vacances étaient à l’image de ces deux journées, ces quatre semaines allaient être interminables. Le lundi après-midi le téléphone sonna dans la voiture de mon père qui était garée, vitres ouvertes, le plus près possible de la maison, afin que nous puissions l’entendre. Les portables n’existaient pas encore, du moins pas tels que nous les connaissons aujourd’hui. Mon père revint en nous disant que c’était « eux » qui arrivaient au village et que son ami lui avait demandé le chemin de la villa. Les GPS de voiture non plus n’existaient pas. Quelques minutes plus tard, une grosse Mercedes s’engagea dans l’allée et s’arrêta près de celle de mon père. Je n’avais pas accompagné mes parents au mariage et c’est à ce moment que je vis Florence pour la première fois. C’était une belle femme souriante, grande et fine, brune aux cheveux longs et soyeux. Elle avait les yeux sombres et le teint mat. Leur arrivée eut au moins le mérite de créer un peu d’animation. Les vacances seraient peut-être un peu moins moroses que ce que je craignais. Une routine s’installa rapidement. Le point central en était la terrasse ombragée entre la maison et la piscine. Les hommes restaient souvent ensemble. Ils ...
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