Florence
Datte: 11/12/2019,
Catégories:
ff,
fépilée,
vacances,
plage,
piscine,
Masturbation
init,
Lesbienne
... parlaient beaucoup de boulot, mais aussi de voitures, de foot et, parfois, à voix basse, sans doute de filles. Je sentais que ma mère aurait préféré passer les vacances autrement mais elle faisait des efforts pour positiver. Elle noua des rapports cordiaux, sans plus, avec celle qui avait été la rivale de son amie. Florence non plus ne semblait pas toujours être très à l’aise. Elle se rendait compte de la casserole qu’elle avait à traîner. Pour moi, Florence : vingt-six ans, mariée, faisait partie du monde de mes parents, pas du mien. Je n’imaginais pas qu’elle put s’intéresser à moi et, la première curiosité passée, je ne m’intéressai que peu à elle. Je remarquai quand même qu’elle s’ennuyait ferme par moments. Son mari et mon père s’entendaient comme larrons en foire et elle n’avait pas beaucoup de centres d’intérêts communs avec ma mère. Elle faisait cependant bonne figure et se donnait beaucoup de mal pour s’intégrer entre mes parents et son mari, qui avaient la quarantaine, et moi avec mes dix-huit ans. Je me demandais quand même si elle était vraiment la briseuse de ménage qu’on m’avait décrite et si l’histoire qu’on m’avait racontée – celle de la jeune et jolie fille qui arrive à séduire un monsieur riche puis a évincer sa femme – n’était pas un peu réductrice. Son macho de mari dans le rôle du type qui se laisse mener par le bout du nez par une jeunette : ça ne collait pas. Au fond, je m’en foutais. Les sorties que les vieux faisaient ne m’intéressaient pas vraiment ...
... et je passais le plus clair de mon temps à la villa. Je nageais, je lisais, je bronzais, j’écrivais à mes copines, je rêvais, en un mot : moi aussi, comme Florence, je m’ennuyais. Je fus assez contente quand je vis qu’elle cherchait à sympathiser avec moi. Nos rapports évoluèrent vite. J’étais flattée qu’elle ne me traite pas comme une adolescente attardée. C’était encore nouveau pour moi dans le contexte familial. Elle venait souvent me retrouver quand j’étais seule près de la piscine ou dans ma chambre. Nous y parlions de choses et d’autres. Musique, copains-copines, ciné, études, boulot, lectures, passé, avenir… Nous-nous découvrions souvent des goûts communs. Ces moments firent très vite partie de notre quotidien et je les appréciais de plus en plus. Moi aussi j’allais la rejoindre quand je la voyais s’ennuyer. Une vraie complicité s’est rapidement installée entre elle et moi. Un après midi, alors que je me faisais bronzer, allongée sur le ventre sur un des lits en plastique blanc disposés autour de la piscine, elle arriva près de moi. Elle me proposa de me passer de la crème solaire dans le dos. Bien-sûr j’acceptai. Elle déposa un bonne dose de produit dans sa main et m’en enduisit le dos d’un geste très doux et sans que j’aie eu à bouger. Jusque là, c’était toujours ma mère qui me l’avait fait. Sa méthode était moins délicate. Je devais me tenir debout de dos devant elle, ne pas bouger et retenir mes cheveux le temps qu’elle étalait le produit d’un geste efficace mais ...