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Cet été là IV
Datte: 14/09/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,
Vincent ne dit rien, seul le bruit de sa respiration se joignait aux sons humides de succion alors que mes lèvres coulissaient le long de son chibre, que ma langue titillait chaque veine entourant sa hampe, que son extrémité glissait autour de la collerette de son gland. Tout au plus écarta-t-il un peu plus ses jambes, m'offrant le plus libre des accès à ce bâton de joie. Le grand ado fini par grogner, ses jambes tremblant sous l'orgasme qui déferlait en lui, son phallus pulsa à plusieurs reprise et c'est avec délectation que son sperme chaud jaillit dans ma bouche, dans ma gorge, glissant vers mon estomac. Alors que mes lèvres ondulait autour de la base de son sexe, ma langue se pressant et se frottant dans ma bouche contre sa verge il glissa une main dans mes cheveux et me sourit "Tu aimes vraiment ma queue." Je pus juste regarder vers lui, vers son visage et cligner des yeux. Oui j'aimais son sexe tout autant que celui de Johan, je n'avais aucune honte à mon orientation, à mes goûts, mes appétits sexuels. J'aimais les garçons et j'aimais leur faire du bien. Quelques instants plus tard nous étions debout et je prenais une gorgée de jus de fruit quand Johan nous rejoignit dans le plus simple des apparats, sa nudité se joignant aux nôtres. Nous primes places à la table, autour du plateau de jeu et durant les deux heures qui suivirent nous fûmes complètement captivés par ce jeu de Rome antique. Nous ne vîmes pas le temps passer et toute notre attention était placée sur le ...
... jeu même si de temps à autre un pied et des orteils se frottaient à une jambe déclenchant un petit sourire sur le visage de l'autre. C'était tout en innocence que nous agissions ainsi, heureux d'être tous les trois, amis de longue date, nous ayant trouvé l'un l'autre, nous ayant dévoilé chacun et accepté ce fait que tout trois nous aimions le même sexe que le notre. Pour moi il ne faisait aucun doute, j'étais et serais toujours homosexuel, gay. Vincent, Johan là je ne savais pas mais ils n'avaient aucun mal à apprécier mes charmes, mon corps, mes attentions, mes caresses. L'heure avançant nous passâmes à la cuisine, du melon et un peu de jambon voilà quel serait notre repas du soir que nous décidâmes de prendre sur la terrasse au jardin. Heureusement que la villa des parents de Vincent est isolée et que de hautes haies quadrillent le terrain car c'est sans la moindre gêne et dans la plus grande nudité que nous nous installâmes dans les fauteuils de jardin. C'est Vincent qui orienta la discussion sur la chose, demandant au milieu de la collation si les cabines de la piscine étaient confortables. Bien sur cela troubla Johan mais un sourire salace suffit à faire comprendre aurouquin qu'il savait pour cet après midi à la piscine. Puis vint bien sur l'évocation de la partie de Warhammer et de ce qui suivit chez Johan dans les combles. Cela fit rougir notre grand rouquin, accentuant encore plus son charme naturel. Ce qui changea aussi ce fut que l'accès de sang ne se contenta pas de ...