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Cet été là IV
Datte: 14/09/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,
... car le bois était fait d'un terrain inégal, de buttes, de creux, de jolis sauts à faire en VTT. Johan ouvrait la route et malgré ma question sur le sentier qu'il venait de prendre il continuait droit alors que je l'avais prévenu que ce sentier conduisait vers les tourbières. Bien sur voulant toujours avoir raison il me rétorquait que le sentier devait être sec et qu'on ne risquait rien... Bien sur.... et au final qui avait raison? Il n'y avait aucun danger évidement mais de piste sèche il n'y avait point, juste un sentier boueux, une véritable tranchée où nos roues s'enfoncèrent d'une bonne quinzaine de centimètres nous forçant à plusieurs reprises à mettre pied à terre dans la... boue... Entre nos cuisses et mollets maculés de boue et les T-shirt mouchetés de projections je ne savais qui de lui ou de moi était le plus crotté des deux lorsque nous finîmes enfin par regagner la route. Moins d'une demi heure plus tard nous étions de retour chez lui et il me proposait de me changer, me prêtant de ses vêtements après avoir pris une douche pour nous laver. Je dois avouer que sur le coup, me débarrasser de ces vêtements et de l'odeur collante de la tourbe me faisait le plus grand bien et que j'acceptais cette proposition avec joie. En quelques minutes nos vêtements étaient à terre dans le bac pour le lavage et moi sous la douche Johan étant lui parti mettre le tout dans la buanderie. Je ne l'entendis pas revenir, j'étais en train de me savonner les jambes lorsqu'il se glissa dans ...
... la large douche italienne de la maison. Un cri de surprise et une insulte s'échappèrent de ma gorge lorsqu'il se glissa derrière moi et sans un mot enlaça ses bras autour de ma taille. bien sur à ma remarque que nous pourrions être surpris vint une réponse du tac au tac comme quoi ses parents et ses frères étaient partis faire les courses et donc qu'il ne rentreraient pas avant 19H00. Le grand rouquin avait attrapé le flacon de gel de douche et après s'en être mis plein les mains l'étalait sur mon torse comme pour couper court à mes protestations. Il ne se priva pas non plus de m'embrasser dans le cou. Alors que je me tortillais en protestant encore un peu, une ses mains glissa sur mon torse et se joua d'un de mes tétons alors que l'autre se plaqua sur mon sexe. Cela fini par enterrer toute protestation de ma pars et je laissais à ce grand roux le libre plaisir de me toucher comme il voulait. Je pouvais ressentir ses petit coups de hanches, son corps s'ondulant légèrement alors que la pression de son entrejambe sur mes fessiers se faisait de plus en plus insistante. Il joua ainsi de moi quelques minutes, me faisant gémir de bien être, mon corps réagissant à ces tendresses, mon sexe se dressait de plus en plus comme le sien que je sentais glisser dans la raie de me fesses, sous mon pelvis son gland se frottant à mes bourses alors que Johan le faisait lentement glisser d'avant en arrière entre mes cuisses, l'extrémité de sa verge apparaissant et disparaissant sous la mienne. ...