-
Cet été là IV
Datte: 14/09/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,
... Johan fini par me murmurer un "Lave moi Iwao." Devant mon hésitation il répéta ses mots sur un ton un peu plus pressant, plus insistant et cela me fit trembler, non de peur mais de ce que je qualifierais d'excitation... car oui j'avais envie de le faire, de frotter mes mains sur son corps... cela me touchait plus profondément, plus intensément que je ne le percevais sur l'instant. Comme pour asseoir ses mots, il fit un pas en arrière et répéta de nouveau ces derniers avec force. Je fini par me retourner et instinctivement, inconsciemment par me mettre à genoux, mes mains ayant agripper le gel je commençais à laver ses piliers de muscles couvert d'un fin duvet de poils roux. Il y avait bien sur quelque chose que je ne pouvais rater, cette verge, ce phallus de jeune homme, droit et dressé, gorgé de sang par le désir bouillonnant et insatiable de la jeunesse, cette forêt de poil roux qui entourait sa base. Pendant quelques minutes sous ses instructions, ses commentaires, ses compliments et remerciements je m'appliquais à nettoyer ses jambes mais aussi le reste de son corps car il me guidait plus haut sur ses abdominaux, ses pectoraux, ses bras. J'avais bien sur évité son entrejambe et ses fesses et était à présent occupé à rincer son corps , ses jambes et ses pieds lorsqu'il me corrigea, me signalant que j'avais oublié un partie de son corps. Sans la moindre hésitation mon ami d'enfance glissa une main sur sa hampe et pointa sa verge sur mon visage alors que j'étais encore à ...
... genoux devant lui. D'un petit mouvement de ses doigts il pressa son gland à moitié encore recouvert de son prépuce à mes lèvres et le frotta dessus de gauche à droite et droite à gauche. Lorsque sa main libre se posa sur mon crâne je ne pus qu'écarter les lèvres et ouvrir ma bouche, prenant, accueillant ce gland gorgé de sang avec délectation sur ma langue. Alors qu'il se cabrait légèrement sur les pieds, poussant sa verge un peu plus dans ma bouche Johan poussa un sourd mais profond grognement de plaisir et laissa s'échapper un juron. Mes lèvres pinçaient son sexe et retenait la peau, décalottant son gland alors qu'il le pressait au fond de ma bouche, forçant l'entrée de ma gorge. Ce doux plaisir dura quelques instants, à la fois interminables et si éphémères... Johan fini par se glisser en arrière et m'aida à me relever. Là sous la douche il m'enlaça dans ses bras et m'embrassa avec toute une passion que je ne connaissais pas de lui. Alors qu'il m'embrassait je fini par sentir ses mains glisser sur mes fesses, jouant avec, les serrant avant de les écarter. Le roux joua ainsi de mon postérieur avant de presser ses doigts contre ma petite rondelle de muscles, poussant l'un plus loin que les autres, forçant la couronne à se dilater, à s'ouvrir alors que son doigt glissait phalange après phalange entre les deux anneaux jusqu'à son extrémité. Instinctivement mon corps se tendit, mes poumons poussèrent un doux gémissement dans notre baiser et mes fesses se contractèrent, le faisant ...