1. Abou ou l'Origine du Monde selon Youssef (3 / 3)


    Datte: 15/09/2017, Catégories: fh, fhh, fplusag, jeunes, couleurs, profélève, grossexe, école, fsoumise, hdomine, vengeance, chantage, BDSM / Fétichisme Oral

    ... traduction. Arrivée derrière lui, je me penche, encadrant sa nuque de mes seins, comme si je lisais sa copie par-dessus son épaule. Il me prend le coude d’une main pour me maintenir ainsi, et de l’autre défait mes deux premiers boutons. Il relâche sa pression, je me relève et croise alors le regard pétrifié de Kamel, son voisin, sur la naissance de mes seins. Comme un automate, je retourne vers mon pupitre. Kamel a-t-il vu le geste de son copain ? Jusqu’où voient-ils ma gorge ? Arrivée à mon pupitre, je baisse les yeux. La naissance de mes seins est bien visible. Mais Kamel continue à me fixer, tout comme Abou. Me reboutonner serait un geste d’aveu, visible par beaucoup ! Le pire est que mes tétons ont durci d’émotion et pointent sous mon corsage. Pour éviter les regards, je décide de les laisser plancher plus que le quart d’heure prévu. Ce calcul s’avère assez vite caduc, car lorsqu’ils ont fini, ils relèvent les yeux, et les regards, les uns après les autres, s’accrochent à ma poitrine sans plus la lâcher. Même les filles s’y mettent ! Je décide donc de faire ramasser les copies et finis le cours en corrigeant le texte ventre au tableau. Je ne sors de la classe, reboutonnée, que lorsque mon collègue prof de géo entre et arrive en retard pour mon cours suivant. À midi, je reçois un SMS d’Abou : Elo, bravo, tu as des nibards toujours aussi superbes ! Mes potes n’ont fait qu’en parler pendant la récré. Je suis fier d’eux et de toi ! J’ignore sieux, ce sont ses copains, ou mes ...
    ... seins ! Mais c’est peut-être un peu déplacé, cette volonté d’enseignante que j’ai de vouloir leur apprendre la précision des mots, dans un tel contexte ! Le soir venu, il m’appelle. Son enthousiasme pour maprestation n’a pas décliné, et je me bouche les oreilles lorsqu’il me rapporte les commentaires que ses camarades auraient faits au sujet de mon buste. J’ai du mal à ramener la conversation sur le rendez-vous avec Youssef pour la photo. Il me confirme que nous irons samedi soir chez lui, puis m’annonce tout de go : — Pour vendredi, la même chose en haut, une jupe plus courte et surtout pas de culotte. Je te ferai signe quand tu devras t’approcher…— Non, pas ça !— C’est un ordre ! Et il raccroche… Le ciel m’est tombé sur la tête, ce jeu va beaucoup trop loin. Tout ça est de ma faute, je paie mes excès comptant. En plus, je m’imagine ce qui m’attend si je vais chez Youssef, et mon plan pour récupérerl’Origine du Monde version Youssef tombe à l’eau. Je torture mes méninges, il doit bien avoir une solution : je vais me faire porter pâle vendredi, et en profiter pour changer le lieu du rendez-vous ! J’appelle le proviseur le jeudi soir, et l’informe que je suis au fond de mon lit avec une forte fièvre. Je n’ai pas coutume de tirer au flanc, et je tourne comme une lionne en cage le vendredi matin. Je reçois un coup de téléphone d’Abou, furieux, le vendredi après les cours. Je me fais très chatte avec lui, lui réitérant l’envie de lui faire des tonnes de câlins et de l’avoir entre ...
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