Abou ou l'Origine du Monde selon Youssef (3 / 3)
Datte: 15/09/2017,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
jeunes,
couleurs,
profélève,
grossexe,
école,
fsoumise,
hdomine,
vengeance,
chantage,
BDSM / Fétichisme
Oral
... mes cuisses, malgré ma prétendue fatigue. Je lui demande même ce qu’aime boire Youssef pour préparer la soirée ce samedi, qui, vu mon état, ne peut avoir lieu que chez moi. J’arrive à l’amadouer, il me rappelle peu après et m’informe que Youssef a finalement accepté de venir chez moi, et qu’il adore la bière. Elodie, tu vas devoir jouer serré ; l’opération de récupération del’Origine du Monde selon Youssef entre dans sa phase cruciale ! J’ai joué le grand jeu pour les recevoir ! Une caisse de bière au frais pour Youssef (je comprends maintenant pourquoi il a un début de bedaine), des petites bougies parfumées pour tamiser l’ambiance, string et soutien-gorge jaunes achetés avec Abou, porte-jarretelles et bas noirs, jupette noire et le caraco orange ajusté qu’Abou voulait pour notre sortie au centre commercial. Dans la glace, j’ai l’impression d’avoir une fille de mauvaise vie en face de moi. Je me suis maquillée comme un arbre de Noël, et jamais je n’avais eu à porter des vêtements avec des couleurs aussi peu harmoniques. Je m’arrose littéralement d’un parfum lourd et bon marché. Je suis prête ! Lorsque je leur ouvre la porte, mes deux lascars me regardent ahuris, comme des enfants affamés devant un caramel tropical. Leur bouche forme des O, leurs gros yeux roulent dans leur orbite. Je les fais rentrer et prends le bouquet qu’Abou m’a gentiment apporté. Visiblement, Abou avait fait part à Youssef de ma préoccupation concernant la photo et ils s’attendaient à tout sauf à ce ...
... type d’accueil torride de ma part. Je virevolte, les frôle, et je leur sers à boire. Ils se sont confortablement assis dans mes deux fauteuils. Youssef me mange littéralement des yeux et tente de me peloter sans douceur chaque fois que je passe à portée de ses grosses paluches. Sans l’encourager, je n’esquive pas ses gros doigts fureteurs. Je mets de la musique, et esquive des pas de danse lascive. Je mime un effeuillage ! — À poil, à poil, m’intime Youssef. Je mets mes mains en coupe pour leur offrir mes seins, lève sensuellement la jambe pour dévoiler string et porte-jarretelle. J’éteins l’électricité et, à la lumière des bougies, en me retournant, je fais glisser mon caraco, défais l’agrafe de mon soutien-gorge et, sans l’ôter complètement, me retourne vers eux. Ma silhouette se découpe en ombre chinoise sur le mur. Par la fente de ma jupe, très doucement, je dégrafe l’un des bas, et le fais glisser sensuellement sur ma jambe. Pantalon aux mollets, Youssef a sorti sa pine et la tripote. Abou bande aussi à travers son jogging, mais mon petit jeu le surprend visiblement, et ses gros yeux roulent de surprise dans leur orbite. Ma jupe est maintenant à terre. Youssef a saisi son portable et me photographie sous toutes les coutures. Abou reste sidéré devant mon manque de réaction devant ce mitraillage en règle. J’ôte mon soutien-gorge et fais tressauter mes seins, puis fais glisser avec lenteur, par-dessus mon porte-jarretelle, en leur tournant le dos, mon string sur mes fesses. ...