Abou ou l'Origine du Monde selon Youssef (3 / 3)
Datte: 15/09/2017,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
jeunes,
couleurs,
profélève,
grossexe,
école,
fsoumise,
hdomine,
vengeance,
chantage,
BDSM / Fétichisme
Oral
... Elodie, tu m’étonnes ! J’ignore son commentaire, range les assiettes et en profite pour récupérer le portable de Youssef et le poser sur ma table de nuit. Je sors ensuite le petit sac de poudre d’Irma. Youssef sonne, je lui ouvre, il arbore fièrement son paquet de capotes tout en me pinçant méchamment un téton. Je le regarde de manière très langoureuse et lui propose une bière avant l’effort. Il accepte, surpris de ma docilité apparente. Je la lui sers dans la cuisine en y incorporant la poudre marron d’Irma en regardant bien l’heure. Je me laisse, très soumise, peloter par Youssef qui finit sa bière ; ses mains sont brutales et douloureuses. Malgré tout je lui propose d’aller dans ma chambre pour la suite avec un clin d’œil allumeur ; bien que dans sa langue natale, je comprends la réponse. Je me déhanche devant eux et leur dis : — Cette fois, l’un après l’autre.— Moi en premier, je ne l’ai pas encore baisée, clame Youssef comme je m’y attendais. Je regarde ma montre, encore six minutes ! Je m’installe en levrette, la tête dans les bras sur l’oreiller, le cul bien haut et bien ouvert, les cuisses écartées. J’entends les réflexions des hommes, et Youssef, capote au bout du mât, m’embroche sans douceur. Il me saisit les seins et les tire brutalement comme si j’étais une vache laitière avec des mamelles. Je me dis au fond de moi-même : «La traite des blanches, c’est au propre comme au figuré ! » Sous ses coups de boutoir, mon coude heurte la table de nuit, son portable ...
... s’ouvre et roule à terre en trois morceaux. Plus que quatre minutes, Youssef me pistonne de son mandrin. Il ne faut absolument pas que mes sens s’échauffent sous ses coups de piston. Je pense à l’enterrement de ma grand-mère, dont j’étais la chouchoute, à mon banquier, toujours menaçant, au gros collègue de chimie à l’haleine fétide, qui me poursuit de ses avances lorsque je suis seule avec lui dans la salle des profs, au jour où j’ai appris que j’étais nommée pour un remplacement dans le 93. Surtout rester sèche et frigide. Et soudain ce que j’attendais tant se produit : les coups de piston de Youssef faiblissent, je sens sa queue qui dégonfle et qui sort piteusement de mon antre, avec un préservatif rose qui menace de tomber au bout : — Mais vous êtes nul, Youssef, vous ne bandez même pas ! Son appendice viril pend de manière ridicule, et la capote ressemble à une baudruche dégonflée qui s’y balance au bout. Un éclair de désarroi sincère traverse son regard… Je reçois une violente claque sur les fesses, me retourne, il me vise la tête, furieux, mais Abou l’en empêche en retenant son bras ! Éclate alors une violente altercation entre les deux noirs dans leur langue. Finalement Youssef, hystérique, ramasse son portable en morceaux sur le sol, se rhabille et sort en claquant la porte. La fesse toute rouge, je me lève, prends dans la salle de bain un tube de vaseline, prends mon Abou par la main, la lui tends en flattant Sa Virilité encore enbon état et lui susurre : — Mon Abou, ce ...