La tentation de Jean selon Sainte Lydia
Datte: 15/09/2017,
Catégories:
fh,
couleurs,
extracon,
boitenuit,
danser,
douche,
amour,
noculotte,
Oral
pénétratio,
... de joie, je me jette sur lui, manque de le faire tomber – pas stables ces chaises –. Je l’embrasse avec passion, nos langues se découvrent, ma main part en exploration sous son polo. Le rire des filles de la table voisine interrompt mon élan. L’effet est coupé, flop ! Vers 23 heures, Jean m’explique avec un tact touchant qu’il doit écourter la soirée car il travaille le lendemain, même si c’est samedi. Je suis déçue, mais aussi fière de son sens du devoir. C’est très important pour moi : c’est la moisson des bons points, ce soir ! C’est alors que j’abats mes cartes, je lui explique mes projets, le transfert des bagages, etc. Après une seconde d’ahurissement, son sourire revient, c’est gagné. J’appelle le chauffeur et en route pour la maison paternelle. Papa reçoit Jean à bras ouverts, le courant passe tout de suite entre les deux hommes. Je dois m’absenter deux minutes pour chercher des boissons, ce qu’ils se sont dit, mystère, mais papa avait l’air définitivement conquis. Mon gaillard est donc aussi fort pour séduire le beau-père que la fille ! Je lui montre sa chambre et m’éclipse sans rien dire, en riant sous cape : je suis sûr qu’il s’attend à ce que je le rejoigne cette nuit, mais si la belle est apprivoisée, il lui faudra encore un peu de patience pour goûter à ses appâts… Seule, dans ma chambre, j’ouvre mon sac et y prends son cadeau. Je brûle d’impatience, sans cette tradition familiale, je l’aurais déjà ouvert devant lui. Le papier d’argent révèle un petit écrin ...
... bleu roi. Un superbe pendentif en or serti d’un magnifique brillant s’y cache avec un petit mot : Je suis transportée de joie et passe immédiatement le bijou autour de mon cou. Le brillant tombe juste entre mes seins. Je dormirai avec lui, avec un peu de Jean. *** Voici deux heures que je m’agite dans mes draps. Pas moyen de dormir, le savoir là, si proche et si loin à la fois me rend folle. Je me caresse un peu pour apaiser la tension. Mes mains glissent sur la peau de mon ventre, remontent vers mes seins, agacent mes tétons, puis plongent vers ma toison, mais c’est de ses mains dont j’ai envie, de sa présence dont j’ai besoin. Je suis prise à mon propre piège, c’est moi qui ne peux plus attendre ! Pourtant mon père m’a bien recommandé de ne pas coucher le premier soir : « Le temps ne respecte pas ce que l’on fait sans lui ! » Tant pis, il me manque trop ! J’enfile ma robe de chambre et je me glisse dans sa chambre. Clic, j’allume. Jean se réveille, me lance un regard un peu embrumé : il dormait, lui, le salaud ! Maintenant, bien réveillé, il m’écoute attentivement, comprend mon dilemme et propose tout naturellement de dormir avec lui en sous-vêtement. Il me promet qu’il ne se passera rien, si je ne le provoque pas. Mon œil ! Tous les hommes sont pareils, en présence d’une femme, ils ne peuvent plus se contrôler ! Mais j’ai trop envie d’être avec lui, tant pis, aujourd’hui ou demain, qu’importe ! Je laisse glisser ma robe de chambre sur le sol, j’espère que le spectacle lui ...