Élodie, toi et ta famille je vous adore (2) - Histoires de Sexe

Élodie, toi et ta famille je vous adore (2)

... qu’après le petit-déj, il allait falloir que je passe un petit peu plus de temps que d’habitude à me laver les dents, histoire de ne pas avoir une haleine au sperme pour la journée. Moi qui faisais un peu partie de la famille jusqu’à maintenant, je venais de franchir une étape supplémentaire, au niveau de l’intimité familiale. Une fois le ventre plein, et mon apport en vitamines, nous sommes remontées dans nos chambres avec Élodie, elle est vite venue me rejoindre pour que nous parlions de ce que je venais de faire. Elle m’a expliqué à son tour que cela ne faisait pas longtemps qu’elle pratiquait la fellation, elle aimait beaucoup avoir la bouche ainsi remplie. Elle estimait que ce n’était pas pour ça, que nous étions des salopes. Quand Caroline nous a retrouvées dans ma chambre, on aurait cru qu’elle venait me réconforter pour ce que je venais de faire. Je lui ai expliqué que je n’avais pas vraiment été forcée et que j’étais très satisfaite par l’expérience que je venais de vivre. Elle venait aussi me féliciter, car pour une première j’avais fait attention à ne pas mettre mes dents, et aussi regarder régulièrement Gilles dans les yeux. Elle trouve que ce jeu de regard est très important, elle m’a expliqué que je pourrais remettre ça quand je le désirerais. Élodie est repartie dans sa chambre, et nous avons travaillé nos cours le reste de la matinée. — Mes chéries, ça va être l’heure de passer à table. Sur les mots de Caroline, Élodie et moi nous sommes habillées pour ...

... descendre mettre la table, bien évidemment sa maman nous avait préparé un superbe repas. Après le repas, nous avons débarrassé, nous avons fait la vaisselle et tout rangé, puis sommes reparties travailler. La séance de turlutte de ce matin avait l’air complètement oubliée. Quand je suis passée dans la salle de bain, j’ai constaté que le bac à linge sale était toujours plein mais que ma petite culotte de la veille n’était plus là. À ma grande surprise en retournant à ma chambre, moi qui pensais que Gilles était un accro à mes culottes souillées, j’ai pu constater que Caroline n’était pas en reste à ce niveau-là. La maman d’Élodie était en train de se faire reluire l’abricot, pendant qu’elle reniflait l’entrejambe de ma petite culotte. Je tombais un peu de haut, décidément les parents d’Élodie ne pensaient qu’au sexe. Je vais vous avouer que, de mon côté, je n’étais pas la dernière à y penser aussi, mais jusqu’à maintenant je me limitais à me donner du plaisir en compagnie d’Élodie. Je suis restée quelques instants dans l’entrebâillement de la porte à regarder Caroline se faire du bien. Ce qui devait arriver arriva, la maman d’Élodie m’a surprise, elle m’a invitée à rentrer dans sa chambre et fermer la porte. J’étais un peu mal à l’aise car jusqu’à maintenant je n’avais fait ça qu’avec une fille, mais sa fille et Caroline le savait. — Tu as reconnu ta petite culotte. — Depuis le temps que je fantasme sur ton entrejambe, j’essaye de patienter en m’enivrant de tes odeurs intimes. Alors ...