1. Élodie, toi et ta famille je vous adore (2)


    Datte: 17/12/2019, Catégories: Lesbienne

    ... prenais grand plaisir à chauffer les hommes dans la rue, voilà que maintenant j’avais le dard de l’un d’entre eux dans ma cavité buccale. Jusqu’à maintenant je m’étais limitée avec Élodie, à juste faire des bisous sur un sexe, mais ce coup-ci, je l’avais en bouche et finalement ce n’était pas désagréable. La façon dont Élodie me regardait, laissait supposer qu’elle avait déjà sucé le sexe de son père. Cela ne me choquait pas trop, car je savais que Gilles n’était pas son père biologique. Après m’être acclimatée à la présence de cet intrus dans ma bouche, j’ai commencé à aller et venir dessus. Je trouvais très agréable de sentir ce sexe coulisser sur mes lèvres, à entendre Gilles soupirer, manifestement je lui faisais du bien. — C’est bien ma chérie, continue, pour une première tu t’en sors bien. — Quand tu auras sucé mon mari trois ou quatre fois, tu verras, tu ne pourras plus t’en passer. — Tu sais, Élodie a commencé voilà quelques mois, et elle s’empresse de sauter sur l’occasion maintenant. Caroline n’avait plus besoin de me tenir la tête, c’est moi qui donnais le rythme, j’étais accrochée aux fesses de son mari. À chaque fois que son sexe rentrait dans ma bouche, ma langue virevoltait autour, pour lui donner des sensations. Je me retrouvai aussi avec ses poils pubiens dans le nez et surtout cette odeur de mâle désireux. Finalement ce n’était pas une mission si désagréable que de faire une turlutte à un homme. Maintenant j’ai essayé de faire entrer son pieu au maximum ...
    ... dans ma bouche, au point d’aller le faire taper sur ma glotte, puis je le faisais ressortir le plus vite possible. J’étais consciente qu’à ce rythme-là, il allait me balancer la purée dans peu de temps, au fond de la gorge. Quand j’ai senti son sexe se contracter, j’ai compris qu’il allait éjaculer, il fallait que je réfléchisse à toute vitesse, où je prenais tout dans la figure ou tout au fond de la gorge. Même si c’était une première, j’ai préféré tout réceptionner sur mon palais. Je pense que c’était surtout la curiosité, je voulais en découvrir la quantité, le goût, la saveur. Ça y est, il était en train d’éjaculer dans ma bouche, j’ai reçu de longues giclées de sperme à la base de ma langue, tout l’intérieur de ma bouche en était barbouillé. C’était gluant limite pâteux, le goût était amer, un peu salé, peut-être même un peu sucré, allez savoir peut-être était-il diabétique. J’ai gardé son sexe en bouche, jusqu’à la dernière goutte, je ne voulais pas en gâcher, je regardais Gilles dans les yeux ; il avait l’air très satisfait de ma prestation. Caroline s’était remise à me caresser les cheveux, comme pour me féliciter du travail bien fait. — Quand je vois ta prestation inaugurale, je pense que tu ne vas pas tarder à aimer ça. Je suis encore restée quelques minutes la bouche pleine de la virilité de Gilles, avant de m’en défaire. Bien qu’ayant maintenant tout avalé, il me restait encore un arrière-goût dans la bouche, cela faisait comme si elle était pâteuse. Je réalisai ...
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