Heures sup
Datte: 18/12/2019,
Catégories:
fh,
inconnu,
Collègues / Travail
soubrette,
Oral
pénétratio,
portrait,
occasion,
... peux rien voir : les cloisons de séparation ne sont vitrées qu’à partir d’un mètre du sol… Pas de bol… Ce n’est pas mon jour… Ah si… Comme si elle voulait me divertir un peu, elle retire son soutien-gorge. J’entraperçois une poitrine assez lourde et volumineuse. Je n’ai pas vu son visage mais à sa poitrine, je lui donne une petite quarantaine. Pas le temps de plus me rincer l’œil, elle vient de remettre sa blouse. Elle plie son pantalon et reprend ses activités. Bureaux après bureaux, elle approche du mien. Quand elle y pénètre, je la vois de face. Sa bouse n’est pas fermée et flotte autour d’elle. Elle m’offre une jolie vue sur sa poitrine aux mamelons sombres et sur un slip de dentelle noire, assez sexy même si la qualité n’est pas au rendez-vous. Concentrée sur sa tâche, elle ne m’a toujours pas vu. Je me penche de façon à n’être plus dissimulé par mon écran et lui lance : — Bonsoir. Elle pousse un cri perçant. Je crois que je lui ai fait très peur. Elle se laisse tomber sur un des fauteuils qui meublent mon espace de travail. Elle est au bord de l’évanouissement. Je me précipite — Je suis désolé, mademoiselle, vous ne m’aviez pas vu. Je vous ai fait peur. Je suis navré… Elle me regarde l’air hébété. Elle est vautrée dans le fauteuil, sa blouse largement ouverte. Son visage n’est pas désagréable. Elle est clairement d’origine méditerranéenne, avec une peau mate, des traits réguliers, un nez très droit et des soucis très noirs. Elle me regarde fixement encore sous le ...
... choc. Je saisis sa main que machinalement je tapote… — Voulez-vous un verre d’eau ? Elle hoche la tête. Je vais à la première fontaine et rapporte deux verres. Je lui en remets un. Tandis qu’elle boit, je trempe un mouchoir en papier dans le deuxième verre et m’approche d’elle. Je lui tamponne le front à l’eau avec ma compresse improvisée. Elle semble reprendre pied. Puis elle a un rire nerveux. Elle désigne mes pieds. — Vous avez perdu vos chaussures… Cela semble l’amuser beaucoup car elle est prise d’un fou rire. Le contre-choc probablement. Elle hoquette et j’ai peur qu’elle ne s’étouffe. Je la fais lever, en riant avec elle. Debout, elle respire mieux. Je suis face à elle, la tenant par les épaules. — Moi je n’ai pas de chaussures mais vous, vous n’avez pas de soutien-gorge, lui fais-je remarquer. Nouveau hoquet. Elle baisse la tête et prend conscience de sa tenue. Elle a un sursaut, une sorte de sanglot et se blottit contre moi pour cacher son corps à ma vue… Je me retrouve avec cette dame à moitié nue, collée à moi. Ses bras m’enserrent comme pour m’empêcher de me dégager et de la regarder. Je l’enlace doucement et décide de ne plus bouger en attendant qu’elle se calme… Je sens le poids et la chaleur de sa poitrine nue sur la mienne. Ma chemise est trop fine pour être un réel rempart entre nous. L’étrangeté de la situation, son corps contre le mien, tout cela ne me laisse pas indifférent et elle ne va pas tarder à s’en rendre compte ! Je laisse descendre mes mains vers ses ...