Heures sup
Datte: 18/12/2019,
Catégories:
fh,
inconnu,
Collègues / Travail
soubrette,
Oral
pénétratio,
portrait,
occasion,
... corps qui paraît être entré en vibration. Moi, car je me vide en elle à longs traits, le visage crispé. Nous sommes littéralement anéantis par le plaisir et il nous faut de longues minutes de récupération, vautrés l’un à côté de l’autre… Puis nous nous relevons. Je la regarde. Elle est belle, apaisée. — Terminons nos travaux respectifs puis nous profiterons de la nuit, lui proposé-je. Sans que nous ne nous concertions, nous reprenons nos tâches. Elle dans sa radieuse nudité et moi, probablement un peu ridicule, vêtu de ma seul chemise froissée et imprégnée de sueur. Une heure plus tard, nous nous sommes retrouvés. Nos tâches étaient terminées. Nous avons refait l’amour, tout en douceur, tout en tendresse, en bénissant cette moquette confortable qui accueille nos ébats sans brûlures mal placées… Puis nous nous sommes rhabillés… Il était presque minuit. Je lui ai proposé de dîner avec moi, chez moi. De tester mes fameuxscallopine ai fonghi y marsala. Elle m’a souri, a eu l’air un peu triste, désolé, et m’a dit : — Mon mari m’attend… Puis elle est partie après avoir déposé un tendre baiser sur le coin de ma bouche. Le lendemain, le boss a relu le rapport. — Tu vois, Justin, quand tu t’appliques tu es capable de bonnes choses. Du bon boulot les gars, a-t-il crié à la cantonade… Ça me plaît, c’est couillu, j’adopte… Un collègue m’a tapé sur l’épaule. — Désolé de t’avoir imposé ce pensum, mais tu sais, avec ma femme, ça va pas fort… En tout cas bravo, tu as fait le job….— Pas de lézard, bonhomme… Ça m’a fait plaisir de nous relire… Il faut bien un couillon… Je pensais à cette femme de ménage dont je n’ai même pas le nom ou le prénom et qui m’a fait passer une si bonne soirée. Depuis je ne compte pas les heures et au ministère je hante les bureaux, la nuit, au prétexte de dossiers urgents à boucler… Hélas, je ne l’ai jamais revue…