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Un réveillon très révélateur (1)
Datte: 20/12/2019, Catégories: Partouze / Groupe
... grosse verge noire ; je pensais qu’elle ne me calculait plus depuis longtemps mais je me trompais. Entre deux gémissements étouffés, elle a abandonné la queue de Jocelyn pour me demander si le spectacle me plaisait. Je me suis approché d’elle, je l’ai embrassée sur la bouche et je lui ai confirmé tout le plaisir que j’éprouvais à ce moment là. Mon sexe était tellement tendu qu’il me faisait mal, de mon méat bien dégagé suintait un liquide visqueux mais je résistais encore à l’envie de me masturber. Ils ont encore changé de position et Véronique m’a invité à m’allonger sur le lit à côté d’elle. Je me suis installé comme elle voulait, la tête vers le pied du lit, et elle s’est remise à quatre pattes en enjambant mon visage. Jocelyn l’a reprise ainsi et j’avais ses couilles qui ballottaient au dessus de mon nez. Véronique ne s’occupait ni de moi ni de ma queue. Elle avait repris la verge de Patrick en bouche alors j’ai cédé à l’envie de me toucher. Dans le même temps, je tendais la langue dans l’espoir de lécher son clitoris mais, en fin de compte, ce sont les couilles de Jocelyn battant sur ma bouche ouverte que je léchais. Je n’ai pas fermé la bouche lorsque notre ami guyanais a sorti sa bite de la chatte de Véronique pour y enfoncer son gland. J’avoue même que je l’ai sucé avec une gourmandise surprenante et pendant un petit moment mon ami s’est amusé à passer de la chatte de Véro à ma bouche, encore et encore. J’avais le goût de son liquide séminal dans la bouche et, ...
... l’espace d’un instant, je l’ai imaginé décharger dans ma gorge. À cette idée, ma main droite s’est activée avec une frénésie accrue et, en quelques fractions de secondes, mes couilles se sont délestées sur mon ventre et entre mes doigts. J’ai abandonné la bite de Jocelyn qui est aussitôt retournée à la chatte de Véronique, le spectacle me plaisait un peu moins et j’en avais plein les doigts. Je me suis donc glissé hors du lit et j’ai quitté la chambre sans que personne ne semble s’en soucier. Véronique n’arrivait plus à sucer Patrick, elle gémissait comme une damnée et même la porte refermée, ses cris de plaisir remplissaient le couloir. Sans trop savoir pourquoi, je me suis dirigé vers la porte de la chambre voisine. J’ai tourné doucement la poignée pour voir ce qu’il s’y passait mais le spectacle n’était pas à mon goût. Fabrice enculait Katia comme un forcené et j’ai refermé la porte. Je ne me sentais pas à ma place dans ce palais du sexe alors je suis passé par la douche avant de retourner piquer une tête tout seul dans la piscine. Il n’y avait plus une seule lumière à l’exception de l’éclairage du bassin, des étoiles illuminaient un ciel sans lune et j’ai eu l’impression, malgré tout, de vivre un moment précieux. J’ai fait quelques brasses pour me laver l’esprit et, ensuite, je me suis installé dans le hamac accroché près de l’entrée pour m’y endormir le cœur chargé d’émotions contradictoires. J’ai été réveillé un peu plus tard dans la nuit par des baisers et des caresses très ...