1. Un réveillon très révélateur (1)


    Datte: 20/12/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... chaudes qui avait réveillé la tension de ma queue. Pendant un instant, j’ai pensé à Véronique mais ce n’était pas son odeur et les lèvres et les mains qui couraient sur mon corps n’étaient pas les siennes. J’ai ouvert les yeux au moment où Katia me redonnait un nouveau baiser sur la bouche et nos langues se sont rencontrées. — Alors, le cocu, on s’isole ? Je t’ai attendu dans la chambre… Fabrice est sympa et il a une belle queue mais il ne tire qu’un coup et s’est un peu trompé de cible. C’est un peu décevant. — Tu m’as cherché ? lui ai-je demandé n’osant avouer que j’avais vu. — Non, j’ai faim et je me suis dit qu’il devait bien rester des trucs à grignoter ici. C’est un coup de chance, en fait. A-t-elle rajouté en me caressant la queue. — Elle est beaucoup plus petite que celle des autres, tu risques d’être déçue. — Elle n’est pas si petite ; j’ai déjà vu pire et puis, de ce que j’en sais, Véro ne s’en est jamais plainte. Si tu sais t’en servir, c’est tout ce qui compte pour moi mais d’abord il faut que je mange un truc. Tu sais où se trouve la lumière ? — On va chercher. Je suis donc sorti de mon hamac où j’étais pourtant bien et, en testant tout un tas d’interrupteurs, j’ai trouvé l’éclairage du bar et de la terrasse. Il restait du matoutou de crabe, des acras et d’autres plats dont le nom m’échappe. La fringale de Katia était communicative et on s’est servi une belle assiette dans laquelle nous avons mangé à deux, installé sur un coin de table et en trinquant avec un ...
    ... fond de rouge. C’était froid mais c’était bon, je me sentais bien et je bandais toujours comme un diable. Katia me caressait la bite de temps en temps et je me suis enhardi en allant tester la douceur de ses cuisses et de son sexe épilé. Nous n’avons pas perdu de temps à chercher une chambre ; nous avons juste étendu un grand matelas de plage sur le sol et nous nous sommes allongés l’un contre l’autre pour de longs préliminaires. Nous n’étions que baisers et caresses, nos bouches partaient tour à tour explorer le corps de l’autre avant de revenir se souder quelques secondes et c’est tout naturellement que nous nous sommes retrouvés en soixante-neuf. Sa chatte ruisselait de désir et de frustration, Fabrice ne l’ayant presque pas visitée. Son corps se tordait sous l’action de mes doigts et de ma langue agile ; elle s’est mise à gémir et mon désir de la prendre s’est imposé. Je me suis placé au dessus d’elle, entre ses cuisses écartées, et c’est elle qui a placé ma queue devant l’entrée de sa chatte affamée. Nous avons fait l’amour de façon très classique, sans cesser de nous embrasser ; la douceur de sa chatte appelait à la tendresse mais j’ai quand même fini par donner plus de puissance à mes mouvements de bassin. Katia exprimait son plaisir en gémissant de plus en plus fort et elle s’est agrippée à mon corps de toutes ses forces, en poussant un grand cri, tandis que je me répandais au fond de sa matrice. Nous nous sommes endormis sur place, enlacés près de la piscine et avons ...
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