Le soleil et les voisins - Histoires de Sexe

Le soleil et les voisins

... meilleur…— Tu es gentil de dire ça ! Quoi qu’il en soit, si je dois me découvrir complètement, je vais avoir besoin de plus d’encouragements.— Pas de problème ! Je peux être un bataillon d’admirateurs à moi tout seul chaque fois que tu en auras besoin et je suis certain qu’on peut compter aussi sur Charles pour te dire tout un tas de choses gentilles. J’ai ri encore. — Merci, vraiment ! Les paroles d’encouragement c’est très bien, mais je crois que j’aurai besoin de plus que ça.— Alors, qu’est-ce que je peux faire ?— Tu te souviens que tu as proposé d’enlever ton maillot à la carrière ? Tu ne m’as même pas demandé d’enlever le mien d’abord, tu as juste offert d’enlever le tien si c’était ce que je voulais.— Si tu m’avais dit d’y aller, je ne sais pas si je l’aurais vraiment fait ! Quoique… Il a attendu ce que j’allais dire après. — Je sais, je t’ai dit de garder ton maillot parce que je n’étais pas encore prête à enlever le mien, mais si l’offre tient toujours, je crois que je peux y aller dans la mesure où tu y vas. J’ai juste besoin que tu le fasses d’abord. Mais pas comme l’autre nuit à leur piscine. Tu dois être nu et, cette fois-ci, nous faire face.— C’est un défi ? Michel a semblé examiner cette idée, hésitant, maintenant que je le proposais sérieusement, que son corps soit ainsi pleinement exposé à Geneviève et à Charles plutôt qu’à des étrangers sur une plage nudiste. — Alors, que me suggères-tu de faire ?— Eh bien, je vais y penser encore. Mais j’ai l’impression ...

... que tu es véritablement curieux de savoir si tu pourrais le faire, non ?— Curieux, oui. Capable, je ne sais pas. Je me suis approchée de lui et ai avancé ma main pour frotter l’avant de son pantalon. — Cette queue mérite d’être vue, ai-je chuchoté à son oreille. Je crois que c’est à ce moment que tout s’est déclenché chez lui. Avant que j’aie pu en dire plus, il m’a poussée vers le sofa, me déshabillant en même temps. Il est resté debout devant moi pendant que je m’asseyais, et j’ai ôté rapidement son short et son caleçon pendant qu’il passait sa chemise par-dessus sa tête. À ce moment là, il était normal et facile de prendre son pénis dans ma bouche. Je l’ai laissé faire un va-et-vient au-dessus de ma langue, et parfois je le tenais hors de ma bouche et je le léchais de façon qu’il puisse regarder vers le bas et voir ma langue courir partout sur son sexe en érection. Un moment, j’ai fait une pause dans mon léchage et lui ai demandé : — Et si Geneviève pouvait voir ta queue maintenant ? Je l’ai alors avalé de nouveau aussi profondément que possible. Juste comme l’autre nuit, son orgasme est survenu soudainement et puissamment, et j’ai senti sur ma langue et dans ma gorge son sperme gicler à plusieurs reprises. Comme ça me l’avait fait à moi-même, l’idée d’être vu nu et en érection avait fortement augmenté son excitation. Le lendemain, nous verrions si ça pouvait agir sur l’imagination. oooOOOooo Le jour suivant était un samedi, jour où habituellement Michel tond la pelouse. Il ...