Le soleil et les voisins - Histoires de Sexe

Le soleil et les voisins

... est descendu vêtu d’un vieux short et d’un t-shirt. — Attends une minute, mon chéri. Je crois que c’est le moment de te faire part de mon idée.— Eh bien, je t’écoute.— Pourquoi ne tondrais-tu pas complètement nu ?— Quoi ? Tu es sérieuse ?— Si tu gardes tes chaussures, il n’y aucun danger, non ? De toute façon, ta chemise et ton short ne te protègent pas du tout !— C’est-à-dire que je trouve cette idée assez étrange. Qu’est-ce qui te fait penser que c’est une bonne idée ?— J’aimerais que pour toi, la nudité devienne naturelle pour toutes tes activités journalières. Comme Charles et Geneviève. Rappelle-toi comment nous les avons vus nus quand ils étaient dehors pour arroser leurs plantes. Et depuis l’autre nuit, ils travaillent plus souvent sans leurs vêtements. Je les ai vus ce matin déjà, mais je ne sais pas s’ils sont toujours dehors. Quoi qu’il en soit, je ne suis pas sûre que ça les intéresse particulièrement de te voir faire du jardinage comme tu le fais chaque week-end, mais si tu ne portes aucun vêtement, ce serait sans doute différent. — Je ne sais pas trop. Je m’étais figuré que je m’enroulerais dans une serviette, juste comme l’autre jour à leur piscine.— Nous avons déjà fait ça l’autre nuit. Ils doivent encore penser que nous ne sommes pas à l’aise avec la nudité complète. Quelle meilleure manière de leur montrer que nous le sommes que de leur montrer ton corps ? En lui posant cette question, j’ai passé sa vieille chemise par-dessus sa tête, sans qu’il manifeste ...

... de vraie résistance. — Tu vois, c’est à moitié fait. Rien d’étonnant de ne pas porter de chemise par un jour aussi chaud.— Ce n’est pas à la chemise que je pense…— Tu ne te sens pas bien comme ça ? Tu ne penses pas que Geneviève aimerait te voir torse nu ?— Qui sait ?— Crois-moi, elle aimera. Et si elle aime la moitié supérieure, elle aimera aussi la moitié inférieure. Elle m’a déjà dit qu’elle pense que tu as de belles fesses. Je déboutonnai son short et le baissai pour qu’il puisse faire un pas pour l’ôter, le laissant seulement vêtu de son slip. — Elle ne serait pas satisfaite de me voir comme ça ?— As-tu peur ?— Peut-être. Tu penses que c’est vraiment une bonne idée ?— Je pense que c’est une excellente idée et je suis sûre que quand ils te verront, Charles et Geneviève penseront la même chose. En disant cela, j’ai commencé à baisser son slip. Simplement, je ne l’ai pas tiré d’un coup sec vers le bas parce que je voulais être sûre qu’il était prêt. Il ne m’avait jamais forcée à rien, aussi n’allais-je pas moi-même le forcer. Quand son slip est arrivé à ses genoux, j’ai su qu’il allait le faire et je l’ai aidé à l’ôter complètement. Tandis que j’étais toujours baissée, j’ai donné un rapide baiser à son pénis et ai dit : — Tu es beau. Va te faire voir aux voisins. Il se dandinait comme s’il doutait encore. Peut-être se demandait-il si je le poussais à le faire parce que je savais que les voisins n’étaient pas dehors ou s’étaient absentés. Ou peut-être se demandait-il comment ...