Écoeurement détaché
Datte: 26/12/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
Collègues / Travail
jalousie,
Oral
pénétratio,
... de supporter. Lorsque faiblissais, elle me reprenait en mains et m’apprenait de nouvelles manières de la mater. Jamais elle ne tenta de se soustraire à mes regards obscènes. Bien au contraire, elle accepta mon souffle rauque, mes mains tendues vers ses plis, vers ses fentes, vers ses bourrelets, qui, par la grâce de mon envie, se transformaient en autant de promesses de félicité. Elle reçut tous ces signes de mon excitation comme autant d’hommages à sa féminité. Lorsque le moment fut venu, en pleine connaissance et en pleine possession de ses muqueuses, de ses sphincters, de ses plus intimes relâchements, je lui fis subir les derniers outrages. Elle me rendit coup pour coup, jusqu’à ce que nos carcasses s’embrasent. Nous fûmes tétanisés au même moment par de sublimes spasmes, que seul un pur délire érotique peut provoquer. Tétanisés, et beaucoup plus encore, aussi longtemps qu’elle me permit de défunter entre ses cuisses. Lorsqu’elle eut fini d’extirper la dernière goutte de sperme de mon bas-ventre, lorsqu’elle eut exhalé son dernier cri de jouissance, je m’écroulai sur elle. Juste avant de plonger dans un coma post-coïtal, j’ai senti ses bras se refermer autour de ma taille. J’ai adoré l’odeur si particulière de son haleine lorsqu’elle a posé ses lèvres sur ma bouche. Une étrange tension fit regonfler mon sexe, que je croyais hors-service pour longtemps. Le tabagisme passif aurait-il des effets inattendus ? Je doute que les responsables de la santé publique et de la ...
... prévention en aient évalué la portée à ce jour, ni surtout les mystérieux effets secondaires. ooo000ooo Stéphanie lui tourne le dos. Elle sent sa présence derrière elle, presque menaçante. Elle aimerait l’oublier, l’effacer d’un claquement de doigts, mais elle sait que c’est impossible. Il fait partie de sa vie… Elle verse l’eau frémissante dans sa tasse et regarde les volutes dorées du thé qui infuse. Puis, elle fait face à nouveau à celui qui la torture. Son ordinateur. Son outil de travail, son assistant, son confident. Elle pourrait l’éteindre rageusement et passer à autre chose, aller lire, blottie sous son plaid, mais ce serait comme fuir une conversation avec un compagnon, en allant faire un tour en ville. Le problème serait toujours là, à son retour. Stéphanie écrit des histoires érotiques. Elle publie depuis quelque temps des romans alliant textes et photos dites "de charme". Elle assure toute seule, de A à Z : écriture, photos en autoportraits et pour finir, autoédition. Ça marche plutôt bien, elle commence à se faire une petite place dans ce monde émoustillant et libéré. Pouvoir s’exprimer sans limites lui plaît, extérioriser ses fantasmes, provoquer subtilement, chercher encore et toujours l’image qui illustrera parfaitement le récit grâce à son ambiance ou à son côté artistique… Suggérer, faire travailler l’imagination, sans jamais tout révéler. Certains lecteurs lui sont fidèles. Avec ceux-là, le dialogue est toujours intéressant, qu’il concerne l’écriture ou la ...