1. Écoeurement détaché


    Datte: 26/12/2019, Catégories: fh, fhh, Collègues / Travail jalousie, Oral pénétratio,

    ... vorace, quelque chose s’est libéré en moi, une porte s’est ouverte sur un monde inconnu de sensualité, et de plaisirs débridés. Je l’ai laissée me prendre la main, et m’emmener chez elle, non loin de là. Après, je ne sais plus très bien le détail de ce qui nous est arrivé. Je garde juste en mémoire quelques images intenses, quelques sensations troublantes. D’une manière ou d’une autre, elle a dû débrancher cette partie raisonnable de moi qui, d’habitude, dit non, attention, pas maintenant. Je crois d’ailleurs l’avoir entendue murmurer quelque chose comme « tout, tout de suite et à donf, s’il te plaît ! ». Après ? Eh bien, disons qu’elle m’a baisé. Savamment, longuement, méticuleusement. Elle n’a plus laissé entre nous une ombre de ce romantisme dans lequel je me complais trop souvent avec mes conquêtes. Nous avons lancé nos corps à l’assaut l’un de l’autre, pour qu’ils se gavent du désir le plus brut, des plus animales pulsions, et nous permettent d’en jouir d’une incomparable manière. Plus rien d’autre n’eut d’importance que ce que ma queue m’imposait de lui faire subir, que ce cul qu’elle me tendait en suppliant de la remplir jusqu’à la garde. Le besoin de jouir suintait par tous nos pores, par tous nos orifices, avec ce que cela impliquait d’exhalaisons en tous genres. Moi, qui me croyais si fragile de la muqueuse nasale, je me découvris friand du parfum malséant de son corps excité. Comme si la nicotine qui saturait ses émonctoires pénétrait en moi de la plus insidieuse ...
    ... manière. Comme si les miasmes instillés en moi prenaient le pouvoir, sur ma volonté et sur ma virilité. Je mis alors à bander formidablement, comme rarement auparavant. Mon sang pulsait dans ma queue et la gonflait au-delà du raisonnable. De grosses gouttes de sueur coulaient sur mon torse et sous mes bras. Elle les lécha avec application, sans pour autant cesser de m’exciter par de surprenantes secousses du bassin. Comme un étalon fou de désir pour sa jument, soumis à la violence de son instinct copulatoire, j’ai projeté mon bas-ventre à la recherche de sa vulve. Trouvant entre ses fesses de quoi apaiser mes tensions génitales, je l’ai transpercée d’un impérieux coup de reins. Par sa manière de m’accompagner, de s’offrir, elle me fit abandonner tout reste de civilité. Seule la quête du plaisir compta dès ce moment. Plaisir de posséder, de fouiller, de perforer ses chairs, puis de me vider longuement, en accompagnant chaque saccade de ces bruyants grognements qui caractérisent l’instant suprême du rut. Sans cesser de m’activer en elle, j’ai contemplé les plus infimes détails de ce que je pénétrais, de ce que je triturais, de ce que je faisais couler, gicler, toutes ces formidables manifestations de vie génitale dont elle me rendait coupable. Longuement, nous nous sommes battus, les chairs frémissantes, épanouies, béantes, sublimées par l’intense désir, impatientes de jouissances toujours plus inattendues, à cette limite de la souffrance que les plus folles pulsions permettent ...
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