Une aventure avec une inconnue de vingt ans mon ainée
Datte: 16/09/2017,
Catégories:
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Collègues / Travail
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Oral
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Comme beaucoup d’hommes, je vais régulièrement sur internet pour mater des sites porno, plus ou moins explicites (parfois, très explicites). Enfin, voici quelques jours j’ai découvert Rêvebébé, par hasard. J’y ai lu pas mal de récits. Si vous lisez ces lignes, c’est que je me suis décidé, peut-être sur un coup de clics, à publier mon aventure. En fait, c’est la lecture de quelques publications sur ce site qui m’a donné l’envie de l’écrire. En vue d’abord, je l’avoue, de m’aider à faire le point. Pour la forme, je vais en premier lieu me présenter, cadrer le contexte de mon aventure et, bien sûr, détailler ma nouvelle expérience sexuelle. oooOOOooo Présentation Je m’appelle Kamel. J’ai 28 ans. J’aime le sexe. Avant cette aventure, j’étais pourtant bien dans ma peau et dans ma vie. Dieu m’a donné un corps que j’aime. D’abord, je suis très grand. Ensuite, les entraînements sportifs réguliers que m’avait imposés mon père (pourtant ressentis comme subis à l’époque) – étant lui-même un ancien athlète – me donnent à présent le goût de l’effort physique. Ceci me récompense par un corps bien sculpté. Narcissique ? Oui, certainement. De plus, si dans ma jeunesse j’avais été (bêtement) complexé par mon sexe que je jugeais mal proportionné, j’en suis aujourd’hui très heureux… Et fier. Je sais, c’est con de dire que l’on est fier de quelque chose dont on n’a finalement aucun mérite, à l’inverse de mon entretien physique, mais je suis comme ça. J’aime la grosseur de mon pénis. J’aime que ...
... mon gland le paraisse davantage en étant toujours à demi-découvert. Et j’aime bien provoquer des moments troubles (et un peu dominateurs) avec ma partenaire où je le saisis dans ma main, en montrant ostensiblement que ma poigne n’en fait pas le tour. Macho ? Oui, sûrement. À l’époque, je vivais avec ma copine Chéryl. On avait décroché un bel appartement parisien, bien loin à tous les égards de ma banlieue. Notre situation, perfectible, était malgré tout confortable. En effet, si Chéryl était styliste en CDI, je galérais un peu plus pour ma part : j’étais toujours en CDD, mais avec un master en poche que je dois aux labeurs de mes parents, de simples ouvriers maghrébins, qui m’ont payé ces longues études. Sexuellement, mes rapports avec Chéryl étaient épanouissants. Du moins, je le pensais. On aimait baiser, de presque toutes les manières et dans des lieux insolites afin de donner du piquant psychologique, et ainsi bannir la routine. En revanche, depuis qu’elle avait décroché son nouveau poste, son appétit charnel avait laissé place à un planning professionnel surchargé et donc à de la fatigue… au détriment de la fréquence de nos ébats. Dès lors, nous continuions à faire l’amour avec beaucoup de hardiesse et avec très peu de tabous, mais pas plus de deux à trois fois par semaine. Et c’était trop peu pour moi. Bien que je reconnaisse être un séducteur, je ne pensais sincèrement pas que j’aurais pu la tromper. J’avais tort… oooOOOooo Contexte Je travaille pour une société qui ...