Une aventure avec une inconnue de vingt ans mon ainée
Datte: 16/09/2017,
Catégories:
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Collègues / Travail
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... installe et fait de la maintenance de réseaux informatiques. Aussi je suis amené à me déplacer dans des entreprises différentes régulièrement. Nous étions fin juillet. Il me tardait d’être en vacances. À deux doigts de la quille, j’étais chargé d’une migration de serveurs et de logiciels pour une vieille PME crasseuse et plutôt bordélique. Rien de compliqué. Le directeur de la boîte, un gros type antipathique et mal fagoté, me présenta à ses salariées (que des femmes) et les prévint de ma présence. Il les informa des désagréments opérationnels et nécessaires à l’exécution de mon travail. Déjà, dans cette foule attentive, je distinguai la chef des secrétaires. D’environ 45 ans je pense, cette femme rousse à lunettes se détachait du lot. Elle était habillée d’une tenue très classique, stéréotypée, que l’on peut se faire d’une responsable de services, mais sans exubérance : chaussures noires à talon, collant noir, jupe noire, chemisier blanc et foulard autour du cou. Elle portait bien le tout et j’aimais son allure. En passant de service en service, j’en appris davantage sur la chef : elle était incontestablement peu appréciée (doux euphémisme !). Les filles parlaient d’elle en l’appelant « l’aut’ conne ». Elle subissait la fréquente critique de «ne rien faire d’autre que de s’enfermer toute la journée dans son bureau pour jouer à internet ». Il est vrai que je l’ai rarement vue quitter son bureau. Elle y restait même le midi pour y déjeuner. Et quand elle y était, elle fermait ...
... la porte. C’est ainsi que le lendemain midi, elle me négocia la liberté d’accéder à son poste afin d’y configurer son ordinateur. Je faisais consciencieusement mon travail que je finis avec une demi-heure d’avance. Curieux, et sûrement un peu voyeur, je consultai l’historique de son navigateur internet. Le résultat tranchait avec sa réputation : tous les accès, très professionnels, étaient finalement peu fréquents pour quelqu’un qui semblait être tout le temps connecté. Tenace, je fouillai dans les dossiers pour voir les programmes installés et y découvris le raccourci d’un autre navigateur que celui par défaut dans le système. Là, l’historique que je pus afficher fut davantage prolixe : des centaines de pages de sites de cul ! Et que ça ! Des pages de vidéos hard, parfois assez crades. Et j’avais la preuve numérique que la cheftaine avait navigué sur ces sites durant une bonne partie de la matinée ! Bien loin de faire quelque morale, je commençai au contraire à m’exciter à la pensée qu’une femme pouvait prendre plaisir à voir des photos et des vidéos aussi explicites, issues, par ailleurs, de certains sites que je connaissais bien moi-même pour les avoir consultés ! De retour à 13 h 30 pile dans son bureau, je lui cédai la place et ne la regardai plus de la même manière. Je posai d’abord le regard sur la forme de ses seins sous son chemisier bien sage. Le bref instant où elle regagna son bureau, je matai le déhanché de ses fesses, pourtant un peu fortes, mais rondes et bien ...