Une aventure avec une inconnue de vingt ans mon ainée
Datte: 16/09/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
frousses,
inconnu,
lunettes,
Collègues / Travail
toilettes,
ffontaine,
facial,
Oral
fist,
fsodo,
confession,
... moulées par sa jupe. Tout l’après-midi, elle était bien sûr enfermée dans son bureau et je devinais ce qu’elle pouvait y faire. Cela m’excitait beaucoup. Ce soir-là, j’ai fait l’amour avec Chéryl comme un fou… mais je pensais à la secrétaire… oooOOOooo L’aventure C’était mon dernier jour dans cette boîte. Et mes vacances si convoitées me tendaient les bras ! En vérité, j’avais déjà terminé mon job depuis une bonne heure et feintais de paramétrer quelques postes en attendant la pause-déjeuner. J’avais décidé de provoquer quelque chose. Profitant en outre de l’absence du boss pour la journée, je m’attachai donc à importuner la secrétaire dès que toutes les salariées eurent quitté les lieux. Je frappai alors sur la porte en verre granité et opaque de son local. Je vis son ombre déformée s’avancer. Elle m’ouvrit et me questionna sèchement : — Que voulez-vous ?— Je peux entrer ?— C’est l’heure du déjeuner. Ça ne peut pas attendre ?— Non.— Vous m’aviez dit que vous aviez fini !— Laissez-moi entrer, je veux juste vous parler. Elle hésita et m’ouvrit le passage. Je poursuivis : — Quand j’ai travaillé hier sur votre PC, j’y ai découvert des trucs… intéressants. Elle conserva son ton sec, mais, cette fois, il parut moins assuré : — Que voulez-vous dire ?— Vous savez l’informatique, c’est Big Brother ! J’ai vu tous les sites pornos sur lesquels vous allez. Ils sont super hard ! J’en connais quelques-uns d’ailleurs ! Ne vous inquiétez pas, je le garde pour moi— … Mais… Bon… Et alors, ...
... je… Je lui coupai la parole : — Écoutez, moi je m’en moque ! Ce n’est pas mon affaire tout ça…. Mais je crois qu’on peut s’entendre. Je suis bien bâti, vous me plaisez et j’ai envie de vous. C’est aussi simple que ça ! D’abord, elle prit une voie basse : — Mais… Vous êtes fous ! Vous n’y pensez pas… Ensuite, elle parut reprendre son air assuré : — Vous vous égarez jeune homme ! Je la saisis doucement par les épaules : — À midi, y’a personne ici ! Vous le savez mieux que moi… Écoutez, on a qu’une heure devant nous. Et puis moi, demain, je ne serai plus là… Je n’ai pas l’intention de vous forcer si vous n’avez pas envie, mais ce serait dommage parce que je suis sûr que je vous plais ! … Décidez-vous : c’est maintenant ou jamais ! Bien qu’elle me dégageât les bras de mon emprise, je voyais bien qu’elle s’interrogeait sur l’opportunité et se laisserait convaincre pour peu ; je continuai mes palabres : — On ne peut pas remettre ça à plus tard. Vous me plaisez et je vous plais !… Et visiblement, on aime les mêmes choses… Ça ne peut rester qu’entre nous… En plus, votre boss n’est pas là de toute la journée : il me l’a dit hier ! Et puis si on ferme la grande porte du dehors, on sera sûrs d’être tranquilles !— Ça ne servirait à rien ; certaines filles en ont les clés ! Intimement, j’étais heureux de sa réponse posée, subtile acquiescement à mes avances. J’enfonçai le clou, un peu brutalement : — Et les chiottes ? Elles n’ont pas les clés des chiottes ? Et puis on aura le temps de les ...